Jeu de séduction

Ce qui était drôle en primaire l’est toujours aujourd’hui.

Ne vous fiez pas aux apparences, rares sont les techniques aussi puissantes que les jeux pour créer de la complicité avec une femme. D’une, ils vous empêchent de vous prendre au sérieux. Séduire c’est fun ! De deux, ils créent un cadre dans lequel vous pouvez vous permettre des choses un peu osées, comme lui poser des questions hot alors que vous la connaissez depuis moins d’une heure. De trois, vous vous projetez avec elle dans des situations imaginaires où vous êtes déjà ensemble et où elle se sent bien avec vous.

Alors faites la jouer, vous vous démarquerez des hommes qui ont perdu de vue que les femmes aiment s’amuser.

Quels sont les meilleurs jeux pour séduire ? 

Action Vérité

Le but est de poser des questions directes et de sexualiser rapidement.

Le principe : vous posez une question et elle répond, elle pose une question et vous répondez, et ainsi de suite (en fait ce serait plutôt un « Vérité Vérité »).

Comment l’introduire : soit vous dirigez progressivement la conversation vers un échange de questions hot, soit vous amenez le jeu de manière plus inattendue.

Moi : J’ai une idée ! Tu sais ce qu’on devrait faire ? On devrait jouer au jeu des questions. Ca fait 1/4h qu’on se connaît, c’est le bon moment. Tu y as déjà joué ?
Elle : bla bla
Moi :  Alors je t’explique c’est très simple, tu vois c’est un jeu pour mieux se connaître. On se pose des questions, chacun son tour, et on est obligés de répondre. Par contre il y a deux règles. La première, on est obligés de dire la vérité. La seconde, on n’a pas le droit de poser deux fois la même question. Alors je commence… hmmm…. Est-ce que tu as déjà été amoureuse ? [Note : ne cherchez pas son approbation, lancez tout de suite la première question]

La subtilité : soyez progressif. Commencez par des questions sur l’amour et les relations (Tu as eu combien de petits copains ? Quelle a été ta relation la plus longue…) et allez doucement vers des questions plus sexy (Est-ce que tu as déjà couché avec un mec juste pour du sexe ? Est-ce que tu as déjà fait l’amour avec des déguisements…). N’enchaînez pas mécaniquement les questions, profitez en pour lui demander des détails, la taquiner, raconter des anecdotes… Si vous vous y prenez bien, vous aurez tellement de choses à vous dire que les questions seront de plus en plus espacées.

Les jeux de rôle

A 6 ans on joue à la maîtresse. A 25 ans le jeu a un peu changé… mais on joue toujours ! Particulièrement en soirée où vous pouvez :

• Jouer à observer les autres. « Toi aussi t’aimes bien observer les gens ? Regarde, elle là-bas elle arrête pas de le regarder et lui il ose pas aller la voir c’est trop drôle ! » 
• Jouer à lui trouver un mec. « Ca m’inquiète faut vraiment qu’on fasse quelque chose pour toi ! Alors c’est quoi ton type de mec, lui là bas il te plaît ? Ou alors lui ? … »
• Organiser une contre soirée imaginaire. « Tu sais ce qu’on devrait faire ? On devrait s’enfuir tous les deux, loin d’ici… »
• Jouer à pierre feuille ciseaux. « Celui qui perd a un gage ! »
• Jouer au bras de fer chinois (combat de pouces). En plus elle s’habitue à votre toucher.
• Inverser les rôles. « Aujourd’hui je suis en vacances je drague pas. Tiens pour changer c’est toi qui va faire le mec et moi je t’écoute ! »
• Lui donner des points. « Plus un », « Moins un » …
• Retourer en enfance

La force du jeu est qu’il crée un monde parallèle et excitant où il n’y a qu’elle et vous. De quoi rendre les autres conversations bien fades en comparaison.

Le jeu des 5 questions

Ce jeu, dont le but est de démontrer de la valeur lors de la phase d’attraction, a été popularisé par Neil Strauss à la suite de The Game.

Le principe : vous posez 5 questions à la fille, elle doit répondre à chacune par un mensonge. Les 3 premières questions sont volontairement enfantines : Comment tu t’appelles ? De quelle couleur est ton pantalon ? Qu’est-ce que tu fais en ce moment ? … questions auxquelles il est facile de mentir pour qu’elle prenne confiance et baisse sa garde.

Le piège commence à la 4ème question :

Hmmm tu te débrouilles pas mal… [puis froncez les sourcils, l’air de réfléchir]… attends j’ai un doute, on a fait combien de questions déjà ?

Une fois sur deux, elle tombera dans le panneau et aura oublié de mentir ! Dans le cas contraire enchaînez immédiatement :

Ahhh tu m’as eu c’est pas possible ! Tu as déjà joué à ce jeu ???

A tous les coups elle répondra que « non », trop contente d’avoir gagné. Et aura perdu. Pour que le jeu soit encore meilleur, pariez un massage ou tout autre gage amusant (raconter la pire honte de sa vie…).

Le jeu de la bouteille

Il existe deux variantes de ce jeu légendaire où chacun fait tourner la bouteille à tour de rôle. Dans les deux cas le but est de sexualiser à mort.

Version 1 : sans défis. Avant de faire tourner la bouteille, il faut dire une phrase sexe du genre : Qui est chaud ce soir ? Qui a l’esprit le plus mal tourné ? … La bouteille désigne quelqu’un, ça fait rire tout le monde.

Version 2 : avec défis. A chaque fois le groupe décide d’un gage que devra réaliser la personne qui fait tourner la bouteille avec celui/celle que la bouteille désignera.

S’embrasser
Se frotter l’un contre l’autre
Simuler une position sexuelle
S’enfermer dans les toilettes pendant 2 minutes
…

Posé dans un appart et combiné à de l’alcool, le jeu de la bouteille est parfait pour initier un plan à plusieurs, surtout la deuxième version qui peut dégénérer très vite…

Vous pouvez également y jouer dans un bar (la version 1 est alors plus adaptée). Il vous suffit d’une table et d’un téléphone pour remplacer la bouteille.

« Je n’ai jamais »

La aussi le but est de chauffer très fort un fois installés dans un appart.

Le principe est simple : un verre à shot par personne, à tour de rôle chacun dit une phrase du type « Je n’ai jamais [fait quelque chose] : je n’ai jamais vu le Roi Lion, je n’ai jamais fait l’amour dans un parc… ». Tous ceux qui l’ont déjà fait boivent leur shot.

Ce jeu est redoutable car il tourne très vite sur des sujets sexe, il force tout le monde à boire et permet de se renseigner discrètement sur les expériences de sa cible !

Everybody play the game…

Vous êtes maintenant convaincu de l’immense potentiel des jeux pour séduire et instaurer un contexte d’amusement, d’intimité et de lâcher prise. Les émotions positives qui en ressortent sont aussi fortes qu’elles sont réelles.

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La prise de numéro n’est que le début d’une succession d’étapes visant à amener progressivement cette belle jeune femme vers votre lit… et vers cette nuit d’amour et d’intimité qu’elle attend depuis si longtemps. Il vous reste du chemin à parcourir, la prochaine étape étant de faire bon usage de votre téléphone et d’organiser votre premier rendez-vous.

Comme toute phase de la séduction, la sortie de piste est assurée pour qui ne respecte les règles de base. Petit guide de la marche à suivre dans les 2 configurations possibles :

1. Votre première rencontre a été courte (moins de 10 minutes, vous êtes encore des inconnus l’un pour l’autre). Typiquement le cas d’une rencontre rapide dans la rue.
2. Votre première rencontre a été longue (plus de 10 minutes, vous avez eu le temps de bien faire connaissance). Par exemple en soirée ou après un instant date.

Ce n’est pas tout, je vous donne aussi :

• Une tactique pour relancer les numéros qui restent sans réponse
• Des exemples réels de conversations par SMS
• Un récapitulatif de ce qu’il faut faire et ne surtout pas faire

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La séduction est-elle un jeu ?

Introduction : Maintenant que vous avez décidé de passer à l’action, un petit avertissement salvateur s’impose.

Séduire est un verbe qui cache en son sein sa véritable ambiguïté. Vous pensez que séduire est « un petit jeu sans conséquence »…alors écoutez et vous découvrirez que le sens de ce mot est caché, travesti en lui-même. Car il s’agit bien d’un jeu de dupes dont nous parlons. Otez vos masques et peut-être alors aurez-vous la chance d’atteindre ce que vous recherchez dans ce théâtre social, celui du manège des séductions.

Séduire pour vous cela signifie plaire, faux ! L’on plaît à quelqu’un mais l’on séduit quelqu’un. Pourquoi ? Car séduire est un verbe d’ACTION. Venant du latin seducere : conduire hors du chemin, dévoyer. Il suppose de ne pas être passif, d’agir sur quelqu’un, à l’inverse de plaire. Un homme, une femme peut nous plaire en restant assis(e) là face à nous en ce matin chaud de métropolitain. Or si cette même personne nous séduit… elle doit d’avantage cet effet à son comportement ou son attitude. Séduire en se levant, en riant, en frolant notre épaule…

La séduction a le pouvoir de transformer le réel.

« Il ne me plaisait pas mais il m’a séduite et maintenant je l’adore… je n’avais pas envie de lui parler mais il m’a fait rire, ça m’a séduit et j’ai accepté de le suivre au café. »

Cependant, dans ce pouvoir de transformation… gare aux déguisements. Lâches abstenez-vous… joueurs abstenez-vous… coeurs sensibles abstenez-vous ! L’amour, la passion, le désir sexuel accompli demandent de la RECIPROCITE. Ce qui existe ce n’est pas l’autre, ce n’est pas vous, c’est ce qu’il se passe entre les deux. En comparant avec le théâtre, la pièce vivante n’est pas l’acteur sur scène déclamant son rôle dans un silence de mort, c’est le rire du public, ses applaudissements… ce lien perdu quelque part entre la rampe et les premiers sièges de velour rouge. Chaque partie nourrit l’autre et l’enrichit.

La séduction est malheureusement uniltérale… c’est un verbe qui ne se conjugue pas de la même manière qu’aimer, faire l’amour ou rire. Il n’est jamais au pluriel. Car la séduction au contraire de l’amour ou du désir ne se suffit pas à elle-même. ELLE A TOUJOURS UN BUT … c’est un peu une manipulation appliquée à l’Amour.

Alors que risquez-vous ?

Vous prenez le risque de ne jamais pouvoir enlever ce déguisement que vous vous êtes créé pour séduire plus et plus efficacement. Si vous renoncez à vous même en séduisant, vous serez alors obligé tôt ou tard soit de renoncer définitivement à vous même (ce qui paraît assez inconcevable), soit de devoir renoncer à l’objet de votre conquête en dévoilant votre véritable personnalité.

A votre place je n’essaierais pas de séduire à la George Clooney (qui vous dites ? connais pas), en me séparant de moi-même, mais je séduirais en m’inspirant de moi-même. Montrez-vous tel que vous êtes et sortez du bois. L’époque des DON JUAN est terminée, nous vivons avec le crédo omniprésent de la transparence (des comptes publics, médiatiques, architecturales…et même des habits de ma voisine de 16 ans…).

Comment ?

En étant votre meilleur ami et votre avocat le plus dévoué, en croyant en vous. Ne cachez pas vos défauts, vos idées, votre physique mais assumez-les. Soyez vous-même tout en mettant en avant ce que vous chérissez en vous… soyez indulgent avec vos petites médiocrités… et surtout pardonnez-vous si vos tentatives échouent.

En ne prenant pas un masque pour séduire et en soulignant votre personnalité, vous ne ferez plus rimer séduction et mensonge. Concrètement si vous désirez une femme pour une nuit, dites le lui cash. Peut-être vos octroiera t-elle la prime de la franchise, peut-être en sera-t-elle vraiment émoustillée. En revanche vous éviterez à coup sûr le scandale du matin à 07h04… se faire ourdir d’insultes devant les voisins ébahis ça ne fait jamais très classe.

En conclusion

N’essayez pas de conquérir mais de vous épanouir. N’ayez pas peur d’être jugé, il serait terriblement conformiste de croire qu’un seul modèle puisse plaire à 5 millions de femmmes célibataires. Si vous ne vous cachez pas derrière un masque, chaque relation vous donnera de plus en plus confiance en vous… pas celle du commercial qui vend son produit, mais celle de l’homme vrai qui ne séduit pas forcément mais plaît.

Ne soyez pas comme tout le monde (sourire, belle gueule, phrases stéréotypées). TENTEZ D’ETRE ORIGINAL. SOYEZ LE MEILLEUR DE VOUS MEME !!!!

Il est vrai ce chemin vous apportera peut-être moins de succès… mais je pense à coup sûr que vous gagnerez ce qu’une vraie victoire apporte, ce que l’on n’obtient jamais sans risque : le dépassement de soi.

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L’unique qualité indispensable pour se lancer en séduction (et comment l’acquérir)

Je vous le donne dans le mille, la seule qualité absolument indispensable pour se lancer en séduction est D’IGNORER L’ECHEC.

Effectivement, on peut séduire…

• sans être spécialement beau
• sans être spécialement drôle
• sans être spécialement intelligent
• sans être spécialement sûr de soi*

En revanche, il est impossible d’avoir du succès si l’on n’accepte pas d’échouer. La peur du rejet est d’ailleurs le plus grand frein du débutant : elle l’empêche d’approcher les femmes qu’il croise dans la rue ou qu’il remarque dans les bars.

Et c’est normal. Pour au moins deux raisons :

• Notre cerveau n’aime pas le danger. Il est au contraire programmé pour rechercher la sécurité (ce qui explique au passage pourquoi la plupart des gens restent salariés toute leur vie alors qu’une bonne partie rêve secrètement de créer leur propre entreprise).
• Comme si ce n’était pas suffisant, nous avons été élevés dans un système qui ne tolère pas l’échec : on nous a appris à avoir des bonnes notes à l’école, à être sérieux, à travailler bien comme il faut pour trouver un boulot stable…

Or dès qu’il s’agit de relations humaines, impossible de plaire à tout le monde (regardez simplement dans la rue le pourcentage de filles qui vous plaisent vraiment). Je suis arrivé à un stade où j’obtiens un numéro pour 3-4 filles approchées – quand on y réfléchit, c’est déjà énorme. Mais cela veut surtout dire qu’il faut invariablement accepter 2 rejets pour obtenir un numéro. Le constat est clair : pas de réussite sans échec.

Il est donc indispensable de reprogrammer son cerveau pour se désensibiliser de l’échec. Ce qui au départ va nécessiter une bonne dose de courage.

1. Surmonter la peur de l’approche

C’est le premier énorme cap à franchir pour ceux qui débutent, tout particulièrement lorsqu’il s’agit d’approcher une inconnue dans la rue. Même si quelques techniques peuvent vous aider (notamment l’adoption de croyances positives), pas de recette miracle, il faut se faire violence ! Il faut se forcer, coûte que coûte !!! L’allié le plus précieux à ce stade est la « main dans le dos » qui sera là pour vous pousser, en pratique un ami/wing qui sait déjà faire. Pour certains, ce sera l’un des plus gros efforts  jamais fourni : la montée d’adrénaline, le stress… il faut canaliser tout ça… et lorsqu’on a enfin réussi à prendre son courage à deux mains, à se dépasser et à faire sauter toutes ces barrières internes,  l’atterrissage est d’une violence sans pitié : la première approche est souvent un échec cuisant, démoralisant.

Encore une fois, rien d’anormal car le fait d’être stressé rend la fille stressée à son tour. L’approche n’a rien de naturel et la fille ne peut que se montrer méfiante.

Voir articlé dédié : comment-vaincre-la-peur-dapprocher-les-femmes

2. Multiplier les approches…

…afin d’évacuer le stress et de donner le moins d’importance possible à chaque approche prise individuellement. Votre démarche deviendra progressivement plus posée, plus naturelle, et les filles commenceront à être plus accueillantes… mais le taux d’échec restera toujours très élevé.

3. Comprendre ce qu’il se passse

Cette étape est cruciale pour pouvoir s’améliorer. Je m’explique. Vous devez faire la différence entre :

• Les échecs de la faute de la fille : elle peut être amoureuse de son copain et fidèle (il paraît que 50% des filles sont maquées), coincée, ne pas accepter socialement l’approche dans la rue, … ou tout simplement vous n’êtes pas son type de mec.
• Les échecs de votre faute : stress, mauvais look, mauvais body language, mauvaise manière de faire, conversation inintéressante, pas assez de fun, recherche de validation…

Personnellement, ma confiance a fait un bond phénoménal le jour où j’ai compris qu’une grande partie des échecs ne dépendait pas de moi. Ce qui s’apparentait à des rejets n’en étaient pas. Du coup, il n’y avait plus aucune raison pour que ces échecs continent de m’affecter. La plupart des gens restent bloqués car ils ne distinguent pas les causes externes des causes internes, prennent tout pour leur compte et finalement se laissent abattre. N’oubliez jamais que même si l’approche est « parfaite » (si tenté que cela existe), il y aura toujours des filles qui vous ignoreront complètement.

Attention toutefois à ne pas tomber dans l’excès inverse et à toujours attribuer la responsabilité de l’échec à la fille. Si vous ne vous remettez pas en question, vous ne vous progresserez jamais et votre réussite ne sera que la conséquence de la loi des (très) grands nombres.

Pour les échecs de votre faute, là effectivement ça peut faire mal et il ne vous reste plus qu’à tuer votre égo.

Ayez l’humilité de reconnaître que vous avez des progrès à faire et que la seule manière de vous améliorer est de tester, d’expérimenter encore et encore, de changer de méthode, de vous adapter… jusqu’à ce que ça finisse par marcher ! D’autant plus que la fille ne vous rejette pas vous, mais votre approche qui n’était pas bonne. Je crois sincèrement qu’il y a une leçon à tirer de chacun de nos échecs. L’échec est en réalité indispensable à la progression dans le sens où chaque échec vous rapproche un peu plus du succès. Au final, seuls les résultats comptent. Lorsque vous verrez les choses de cette façon, l’échec sera indolore, vous commencerez à apprécier pleinement le processus de progression… et vous en viendrez presque à aimer l’échec.

Dernier détail d’importance, appréciez pleinement le processus d’apprentissage. Ne vous mettez pas la pression, au contraire faites vous plaisir et amusez vous !

4. Le mot de la fin

La philosophie « Echec = Succès » dépasse complètement le cadre de la séduction. Elle fait partie de l’ADN des grands hommes (particulièrement dans le monde du business). Elle est l’ingrédient essentiel de toute grande réussite. Elle fait la différence entre ceux qui atteignent des sommets et ceux qui ne sortent jamais de la masse.

Le seul véritable échec est de ne rien faire.

* Bon si vous n’avez aucune de ces 4 qualités vous partez quand même avec un sérieux handicap !

PS : Tout changement durable s’opère dans le temps et les mauvaises habitudes peuvent revenir à un moment ou à un autre. Si vous êtes à nouveau affecté par les échecs :

• N’oubliez pas que Echec = Progression
• Souvenez-vous d’où vous êtes parti et du chemin que vous avez déjà parcouru
• Appréciez le processus d’amélioration
• Pensez : « Ca ne marche pas… et alors ? ». Mieux vaut approcher et échouer que ne rien faire ! Au moins on en aura le cœur net.
• Ne vous prenez pas au sérieux. Have fun !

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Tu seras un Homme, mon fils.

Voici un poème de Rudyard Kipling, poète Britannique de la fin du XIXème siècle, traduit en français par André Maurois. 

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