Comment vaincre l’anxiété d’approche dans la rue

Comment vaincre l’anxiété d’approche dans la rue

Vaincre l’anxiété d’approche dans la rue

Vous vous êtes déjà retrouvé dans une situation ou vous apercevez une jolie femme marcher dans la rue mais vous ne l’avez pas aborder à cause de la peur d’approche, cette anxiété d’approche qui paralyse, on se trouve des excuses pour pas aborder..

Dans cet article on va voir

Comment combattre la peur de l’approche ?

Voici quelques méthodes qui vous permettront de combattre l’anxiété d’approche.

 

Sortir draguer avec ami :

Sortir draguer avec un ami est une très bonne stratégie lorsqu’on débute. Il peut être un soutien moral, une source de motivation et vous pouvez ensemble accéder à une émulation collective.

L’idéal serait que ce ne soit pas quelqu’un de trop proche de vous, quelqu’un à qui vous n’avez plus rien à prouver. L’idée de passer pour une merde devant votre ami en n’allant pas aborder se doit d’être plus insupportable que celle de paraître ridicule un instant devant une inconnue.

Il est aussi possible de mettre en place des petits jeux entre les deux collègues.

Exemple : Celui qui ne réussit pas à faire un nombre d’approches prédéfini devra payer un verre à l’autre et vice versa.

Le danger de cette stratégie est que vous deveniez dépendant de vos amis lorsqu’il s’agit d’aborder. Et que vous soyez incapable de le faire seul. Et dans 95 % des cas, dans la vie, nous n’avons personne pour nous tenir la main. De même, avec un ami, on peut souvent passer plus de temps à parler qu’à agir.

 

Faire monter seul son niveau d’énergie grâce à un échauffement :

Pour le débutant, utiliser des exercices d’échauffement est une très bonne manière pour monter rapidement son niveau d’énergie et donc atténuer son anxiété de l’approche. Spécialement pour vous, j’ai mis au point un processus en 3 étapes qui doit vous permettre d’atteindre rapidement un haut niveau d’énergie.

 

Échauffement en 3 phases

Atteindre rapidement un haut niveau d’Energie

Les 3 phases doivent être bouclées en moins de 15 minutes.

Il faut impérativement qu’une phase soit bouclée avant de passer à la prochaine. N’hésitez pas à changer de cible si ca coince.

Interagir avec un inconnu et l’impliquer dans un choix.

Demander un conseil

Pouvez vous m’indiquer la station de métro la plus proche? 

Faire décrocher un sourire à une fille ou à un groupe de filles.

Interaction courte

 Est-ce qu’il y a un Macdo quelque part ici ? 

Si oui

Et les frittes y sont elles bonnes? 

 

Mettre en marche son sens de l’observation et travailler sa spontanéité.

Faire 1 compliment vestimentaire sincère et spontané à 3 personnes.
(Accessoirement, être un distributeur de bonne humeur.)

Dynamisme et sens de l’observation

j’aime beaucoup tes chaussures. Ou les as tu acheté ?

 

Avoir une pensée sexuelle

Autre petite stratégie pour vaincre cette peur de l’approche. S’imaginer notre cible dans une position sexuelle. Exemple si on est juste derrière elle, avant de l’aborder, se concentrer sur ses fesses et s’imaginer en train de la prendre violemment. Cette puissante image sexuelle va normalement parasiter toutes vos peurs et vous aider à aller aborder. Vous aurez alors dans les yeux cette étincelle de désir qui fera la différence.

Ps : Vous pouvez aussi, juste avant de sortir, regarder un extrait d’un film x, mais interdiction de se toucher. Une fois que la pression sera insupportable, vous pouvez sortir.

Avoir un plan d’action prédéfini en tête

Lorsque vous êtes débutant, il est plus facile d’avoir des phrases d’abordage déjà préparées en tête. Et même si comme nous l’avons vu dans les idées limitantes, elles n’ont au fond aucune importance, en avoir quelques unes de préparer permet de limiter la réflexion et de privilégier l’action.

En voici une toute simple :

« Je t’ai vu et je me suis dis qu’il fallait que je vienne te dire salut… Alors Salut ! »

N’attendez pas une réaction de sa part, enchainez rapidement, sans lui laisser le temps de penser qu’elle est en train de se faire aborder.
Vous pouvez enchainer sur :

« C’est un peu gênant comme situation »

Vous pouvez vous amuser à commenter l’étrangeté de la situation ou de sa réaction. Ou directement enchainer sur une observation.

« Tu as un accent ? »

Si elle est blonde, lui demander si elle a de la famille au Sénégal.

L’objectif est d’être le plus spontané et détaché possible.

 

Draguer dans des lieux qu’on connaît, qu’on maîtrise.

N’ayez pas peur de l’environnement, des gens autour de vous, ils ne sont que des ombres.
Une bonne manière de réduire cette anxiété vis à vis du regard des gens est de draguer dans des lieux qui vous sont familiers. Exemple, si vous êtes étudiant à la Sorbonne et que vous connaissez Saint Michel comme votre poche, draguer dans ce quartier vous rassurera.
Mais n’oubliez cependant jamais que l’objectif à long terme est de pouvoir draguer partout.

 

Filer à l’anglaise (ou à la française en fonction du coté de la manche où on se trouve)

Une des craintes les plus répandues chez l’apprenti dragueur est celle de se retrouver totalement désemparé et ridicule, une fois que la fille nous aura mis un vent. Une astuce que j’utilise pour partir comme un prince en toute circonstance est celle de marcher toujours devant la fille lorsque j’aborde. De cette manière, si elle me rejette, au lieu de décélérer, j’accélère et la laisse derrière moi. Aux yeux du monde externe, je laisse ainsi l’impression que c’est moi qui l’ai rejeté.
Mais surtout, il ne faut pas rester bloquer sur l’échec, il faut tout de suite se mettre à rechercher notre prochaine cible, c’est le meilleur moyen de rebondir. Ca ne sert à rien de se lamenter sur place. Vous ferez ça le soir chez vous.

Donc pour conclure, si vous ne deviez retenir qu’une seule idée, cela doit être celle de « ne pas trop réfléchir et toujours agir ». Dès que vous avez remarqué votre cible, vous devez automatiquement vous mettre à marcher dans sa direction, la suivre telle une machine.

Votre esprit doit être concentré sur la fille, l’objet de vos fantasmes.

 

 

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Comprendre le dragueur de rue avec Alain Soral

Comprendre le dragueur de rue avec Alain Soral

Comprendre le dragueur de rue avec Alain Soral

Vous avez sans doute déjà entendu parlé du très polémique auteur Alain Soral.
Rassurez-vous, je ne vais ici aucunement parler de politique. Simplement, il est à ma connaissance le seul auteur francophone à s’être intéressé de manière sérieuse à notre sujet de prédilection. Il revendique d’ailleurs un passé très prolifique de chasseur des trottoirs parisiens.
Son œuvre maitresse, « Sociologie du dragueur » est une étude sur l’amour et les femmes à travers les yeux du dragueur.Dans cet essai, l’auteur utilise son vécu pour faire un portrait robot du dragueur de rue.

Nous allons dans cet article nous appuyer sur son travail pour essayer de comprendre les motivations profondes du dragueur de rue. Pourquoi, quand, où et comment drague t’il ?

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Pourquoi un jeune homme se retrouve à draguer dans la rue ?

La réponse est simple. Le désir ! Un désir primaire. Tout appelle le jeune homme à aller vers les femmes. Nous n’avons pas ici affaire à un passe temps à la mode. Ce n’est pas du skateboard ou le dernier jeu Nintendo. Non, c’est une pulsion profonde qui vient du bas ventre et que partagent tous les hommes. Une pulsion à laquelle, il est impossible d‘échapper puisque chaque jolie fille qu’il croise, chaque film, chaque kiosque à journaux sont autant de coups de fouets donnés à la bête qui sommeille en lui.

La rue, elle s’impose comme une évidence au jeune dragueur. C’est le plus grand réservoir de femmes à disposition et la marche à pied est le meilleur moyen d’en croiser un maximum. De plus, la rue est un espace libre et gratuit. Il n’y a pas de carré VIP, on y est tous égaux. Un clochard pourrait y aborder la princesse de Monaco.

 

Lorsque la drague de rue devient une drogue

Rapidement, le besoin de sortir, aborder, rencontrer et surtout baiser de nouvelles filles peut devenir insatiable. Chaque jolie fille non abordée laisse dans la bouche un arrière goût de défaite.
Rester chez soi un jour ensoleillé devient alors un supplice. On pense sans cesse aux filles que l’on a raté, qu’on a pas pu faire, qui nous ont échappées…

Alain Soral écrit :

« Esclave de son sexe, il vit sur le trottoir dans l’envie et la frustration »

Ou encore :

« Le dragueur souffre des femmes qu’il n’a pas, de celles qu’il n’a pas eues et de celles qui se donnent aux autres. Tout geste érotique adressé à un autre que lui l’agresse comme une obscénité »

Si cet état d’esprit peut paraître à juste titre malsain, il faut comprendre que c’est aussi ce désir constant et cette frustration qui donne au dragueur sa force.

 

D’ou vient cette frustration?

L’explication que donne Alain Soral à ce malaise est la figure de la mère absente ou mauvaise mère. Comme si le jeune homme cherchait chez toutes ces femmes à capturer cet amour qui enfant lui a tant manqué.

« Déficit d’être du dragueur qui le contraint à une suractivité compensatrice dans la peur de la solitude, de l’immobilité et de tout ce qui le ramène à son manque d’être originel »

C’est évidemment une réponse très personnelle de l’auteur tirée directement de sa propre enfance. Il y a selon moi aussi d’autres explications plus générationnelles ou sociétales.

Il est par exemple assez évident, qu’une société de consommation comme la notre produit inévitablement des êtres insatisfaits, soumis depuis le plus jeune âge à des sources de divertissements aussi multiples que frustrantes.

Cette frustration savamment entretenue est même le moteur de notre société puisqu’elle provoque en général l’acte d’achat.

Le sexe joue un rôle primordial dans ce dispositif. Depuis la tendre enfance, nous sommes tous abreuvés d’images érotiques de toute sortes. A la télé, sur les affiches, dans les magazines… Il est évident qu’une telle quantité d’informations influe sur notre vision du monde, nos désirs et nos fantasmes.

 

Peur et fascination des femmes

« Les premiers sentiments que le débutant mâle éprouve pour celle qu’il désire sont un respect mêlé de peur. Respect de la mère qu’il vénère, peur des femmes qu’il ne connaît pas mais à qui il attribue, faute de pratique, l’angélisme d’une mère. »

Cette ambiguïté permet d’expliquer certaines idées limitantes mais aussi de comprendre ce paradoxe entre l’amour et le désir qui malheureusement vont rarement ensembles.
Le jeune dragueur garde en lui une fascination presque mystique pour la jeune fille qui est pour lui un symbole de pureté, de plus il croit que cette dernière pourrait lui apporter cet amour dont il a tant besoin.

Cette image qu’il garde au fond de lui est autant une bénédiction qu’une malédiction. Bénédiction car c’est une idée refuge qui le rassure mais aussi malédiction puisque la déception devant la réalité n’en sera que plus grande.

Dans une interview pour le site Darkplanneur, Alain Soral résume bien cette idée par cette réplique :

« Si tu n’avais pas mis les femmes aussi haut au départ, tu ne les aurais pas mis aussi bas ensuite »

Le dragueur possède aussi une fascination pour les pétasses. Ces filles hautaines et méprisantes qui deviennent même une norme dans certaines boites selects de Paris. Pour expliquer cette fascination, Soral évoque une fois de plus l’image récurrente de la mauvaise mère réincarnée que le dragueur cherche à conquérir. Mais aussi le choix de la difficulté et le refus de l’ennui des relations ordinaires. Lorsque au bout d’humiliations en tout genre, il finit par en baiser une, le plaisir que cela lui procure aggrave son cas et le force à recommencer.

 

Un désir de revanche sur le monde

Mon expérience du terrain m’a amené à rencontrer de très nombreux dragueurs de rue. Et certaines similitudes dans les profils m’ont toujours sauté aux yeux. Ils pensent tous mérités plus que ce qu’ils ont.
Ce sont presque toujours des individualités plus intelligentes et ambitieuses que la moyenne mais que la vie a écrasé ou humilié d’une manière ou d’une autre.

On retrouve donc beaucoup de personnes d’origines immigrées, socialement déclassées ou qui ont connus des troubles familiaux.

Il y a donc chez toutes ces personnes un désir profond de revanche. Une volonté de baiser le monde entier. En baisant une petite bourgeoise, le jeune dragueur d’origine prolétaire peut avoir l’impression de baiser à travers elle, tous les riches et même le système entier.

« Pour le dragueur, baiser l’inconnue qui passe et qui commence toujours par se refuser, c’est aussi baiser le milieu d’où elle vient et, conquête après conquête, baiser le monde entier.»

Vous l’avez maintenant compris, Sociologie du dragueur d’Alain Soral est une mine d’or d’analyses tranchantes sur la nature profonde du dragueur de rue. Dans ce livre, l’auteur aborde une multitude de sujets passionnants. Pour les besoins de cet article, j’ai du faire une sélection très restreinte que j’ai complété de mon expérience. Donc si vous souhaitez aller plus loin, je vous conseil vivement de lire le livre.

 Lire aussi l’article Techniques de drague de alain soral

 

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Techniques de dragues par Alain Soral

Techniques de dragues par Alain Soral

Techniques de dragues par Alain Soral

Sociologie du dragueur n’est pas seulement un essai sur le dragueur. Il contient aussi des passages purement techniques. Je ne résiste pas à l’envie de vous en citer quelques extraits précis que je m’exercerai à commenter et surtout à mettre en relation avec ma vision de la séduction.

Premièrement, il est important de savoir que Alain Soral a effectué son chemin de dragueur durant les années 70 et 80. Soit juste après la révolution sexuelle et avant l’apparition du Sida.

Une période bénite pour la drague de rue et pour les relations sexuelles en général. Il faut donc par conséquent remettre de nombreuses idées et pratiques dans leur contexte.

Aujourd’hui, d’après moi la population citadine est globalement un peu plus stressée et méfiante. Donc, de nombreuses techniques plutôt osées, énoncées dans le livre seraient difficilement réutilisables de nos jours. J’ai fait ici une sélection des idées que je trouve les plus intéressantes et en accord avec ma philosophie de drague.

 

« Comment aller au-devant des filles tout en leur faisant croire qu’on n’a pas besoin d’elles ?

D’abord en leur donnant l’illusion qu’il ne s’agit pas d’un besoin mais d’une envie. Pour ce faire, le désir du dragueur sera franc et enjoué : pas de voix tremblante, d’œil révulsé, de mains moites d’adolescent en manque ; vous n’êtes pas là pour prendre, vous êtes là pour donner.
Envie qui devra s’exprimer avec l’aisance nonchalante de celui qui a le choix. L’idée que les belles filles courent les rues et qu’elles sont accueillantes doit envahir l’esprit de votre interlocutrice alors même que vous la sollicitez. »

Voilà une idée capitale que je partage à 100 %. Il est impératif d’intégrer cette croyance positive au sein de son mode de pensée. Vous ne devez jamais perdre d’esprit l’idée qu’il existe une abondance. Une abondance de filles en tout genre. Toutes plus magnifiques, sexy et ouvertes les unes que les autres. Dans une grande ville comme Paris, c’est une vérité qu’on pourrait qualifiée de mathématique.

Il faut aussi savoir que les filles ne supportent pas les mecs dont le manque se lit sur le visage. C’est comme une maladie vénérienne, il faut absolument le cacher, le camoufler.

Pour une fille, coucher avec un mec désespéré, c’est comme donner une pièce à un mendiant, l’honneur de la charité en moins. Autant dire, quelque chose de pas vraiment excitant, ni valorisant.

On arrive donc à une impasse. Comment faire lorsqu’on est réellement en manque sexuel et que l’on n’a ni l’expérience, ni la confiance nécessaire.

A ce problème récurrent, il n’y a malheureusement qu’une seule solution. Il vous faudra simuler. Faire comme si vous aviez déjà couché avec des dizaines de mannequins tout droit sorties des défilés Victoria Secrets. Rien ne vous oblige à verbaliser ce mensonge, c’est juste votre manière d’être qui doit le suggérer. C’est une tache difficile mais parfaitement surmontable. J’y suis parvenu, des tas d’hommes y sont parvenus, vous pouvez aussi le faire.

 

« Le matage : échauffement et repérage

Dans la rue, observez les femmes et appliquez vous à détailler les pires : les demis moches qui se la jouent, les vulgaires à talons, les vielles maquillées qui y croient encore. Tous ces appels à l’amour diffus et dérisoires vous empêcheront pour la journée de prendre votre manque au sérieux. Votre désir et son objet remis à leur juste place, pour vous remotiver fixez alors une femme agréable, et pour vous donner confiance pensez à un succès passé. Par un glissement subtil substituez l’inconnue à votre souvenir et imaginez –la ; votre désir démystifié acquiert de l’assurance, le repérage sérieux va pouvoir commencer. »Je n’utilise personnellement plus d’échauffement car je suis arrivé à un stade où aborder fait partie intégrante de ma manière d’être, de mon quotidien. Cependant, je sais qu’il est très difficile pour les débutants de se lancer dans les rues. Je trouve par conséquent ce conseil de Alain Soral très juste et bien pensé. Il faut savoir se motiver et surtout dédramatiser notre situation. Trainer dans la rue à la recherche de femmes n’est pas quelque chose de honteux, de méprisable ou de tragique comparé à des millions d’autres choses de notre quotidien qui le sont bien plus.

 

« Les règles du baratin

Pour limiter les risques d’accrochage, le contenu du baratin doit être le plus inexistant possible. Jamais de politique, de morale ou d’esthétique, même si par miracle vous vous accordiez sur ces sujets graves, il serait très difficile ensuite de revenir au cul ; »

L’idée de ne pas aborder des sujets qui fâchent avec notre cible est pleine de bon sens et doit faire l’unanimité dans la communauté. Mais ce que je trouve ici particulièrement intéressant et en accord avec ma pratique, c’est ce concept de « revenir au cul ».
Voilà une chose que peu de dragueurs osent et savent faire proprement. Nombreux sont encore les apprentis séducteurs à croire qu’il faut éviter de parler de fesses avec notre cible. C’est une idée fausse car les filles adorent ça, bien plus que les hommes. Tu trouveras un exemple de 1h en vidéo dans mes vidéos premium ici, je chauffe une fille en parlant de cul.
Il faut comprendre que l’univers féminin est par définition bien plus sexué que celui des hommes. Tout dans le monde des filles mène de manière directe ou indirecte au cul. Leurs habits, leurs lectures, leurs films, leurs danses… Evidemment, je ne parle pas ici de pornographie mais de sexualité et d’érotisme. Si le fond est le même, l’esthétique et la forme est tout autre.L’exemple le plus fragrant est sans doute, les magazines féminins. Le sexe y est partout.Les filles ont un mode vie et de pensée très sexué, c’est quelque chose que vous devez intégrer dans votre méthode de drague.

 

« La quantité, chemin de la qualité

L’expérience prouve que l’excellence, comme toute pratique menée à son sommet, requiert un apprentissage.

Que la quantité est l’unique chemin de la qualité. »

Voilà un constat qui pue la vérité. Difficile d’être plus clair et concis sur le sujet. Vous devez absolument comprendre que la drague de rue est une pratique, un sport comparable au tennis ou aux échecs. Plus vous travaillez vos coups, vos enchainements, plus vous serez bon et efficace.Le revers de médaille de ce constat est que comme toute discipline, si vous arrêtez durant un moment, vous allez perdre en niveau et en automatismes. J’en ai fait le triste constat l’année dernière où j’avais du arrêté pour plusieurs mois.

 

« Toujours enchaîner

Qu’elle soit réussie ou ratée, une drague doit toujours en entrainer une autre. »

Voilà un secret de jedi des rues. Il faut toujours enchainer. Cela permet de ne jamais rester sur un échec, de plus il n’y a rien de mieux que l’utilisation de l’énergie accumulée lors de la précédente interaction pour se surpasser. On peut de surcroît, utiliser le souvenir frais de l’interaction précédente pour faire des micro-ajustements dans notre méthode et viser la perfection. 

 

« L’utile recours au stéréotypes

Pratiquée dans l’urgence de la rue, la drague n’a ni le temps, ni les moyens de la subtilité. Et comme les filles de leur coté n’ont pas toujours la sensibilité qu’il faut pour deviner les beautés cachées du dragueur mieux vaut pour lui en rajouter »

C’est un sujet très sensible et politiquement incorrect mais l’utilisation des stéréotypes est primordiale lorsqu’on drague dans la rue. Pour ressembler à l’idée qu’on s’en fait, le blondinet devra se la jouer surfeur cool, le dragueur noir devra se faire danseur, le brun méditerranéen devra se la jouer badboy rebelle…

alors qu’ils sont en réalité tous les trois étudiants en droit. Ca peut paraître triste et caricatural mais c’est le constat d’une réalité du terrain. J’avais testé une expérience pendant 1 mois j’ai dit que j’étais manager et l’autre mois j’ai dis que je travaillais à Mc donald, triste constat J’ai eu bien plus de succès e disant que j’étais manager que en disant que je travaillais au Mc donald, fais l’expérience tu verras .

On en arrive à la difficile question du mensonge. Comment faire pour s’accorder à certains stéréotypes excitants pour la fille sinon que par le mensonge. Là encore, je risque de m’attirer les foudres de nombreux bien pensants cependant il faut comprendre que le mensonge fait partie intégrante de la vie des gros dragueurs, ceux qui enchaînent beaucoup de filles. Lorsque je sais que je reverrai pas ou peu la fille, je n’hésite jamais à enjoliver la réalité, voire mentir sur mon origine, ma profession, mes expériences…Là encore c’est une vérité très cruelle et immorale cependant la réalité du terrain est sans appel. Les filles se donnent facilement à celui qui leur donne du rêve.   

 

La vision qu’à Alain Soral de la drague de rue est violente et rude. Malheureusement la grosse majorité de ces idées difficiles à encaisser sont des vérités que j’ai pu vérifier sur le terrain. Je ne pousse évidemment personne au mensonge ou à l’immoralité. Chacun est libre de respecter la morale qu’il désire, cependant certaines constantes des comportements humains doivent être comprises et prises en compte si vous souhaitez atteindre un certain niveau d’efficacité.

 

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Que dire à une fille?

Que dire à une fille?

Que dire à une fille?

 Vous êtes vous déjà retrouvez dans une situation ou vous apercevez une jolie fille mais vous n’y allez pas par peur de ne pas savoir quoi dire ? Ce sera le sujet de cet article, cet article est pour les débutants en séduction et pour les plus expérimentés, une piqûre de rappel ne fait pas de mal de temps en temps!

Plus de galère en drague pour savoir quoi dire. 

Ps : J’ai également un « E-book disponible ici dans la boutique, il s’intitule quoi dire à cette fille » et traite sur le sujet en profondeur mais en plus avancé, il vous permettra d’atteindre un niveau supérieur en communication avec les femmes pour ceux qui le souhaitent.

Lorsqu’on décide un jour qu’il est temps de se bouger le cul et d’améliorer sa vie amoureuse et/ou sexuelle (rayez la mention inutile), l’une des premières choses qui nous terrorise à l’idée d’aborder une jolie fille est de ne pas savoir quoi dire. C’est une des raisons de la peur d’approche (j’ai écrit un article intéressant ici à ce sujet)

«Je l’aborde mais je lui dis quoi ensuite?»

C’est bien la question que tous les bons dragueurs se sont posés un jour.

 

Sommaire

  • Avant tout, comment l’aborder?
  • Et après, je lui dis quoi?
  • Préparez des sujets en stock.
  • Toujours enchaîner!
  • Évitez la déprime, apportez du positif.
  • Pour conclure

Avant tout, comment l’aborder?

Lorsque j’ai commencé à m’intéresser aux techniques de séduction, j’apprenais des phrases d’accroche que je récitais. A force de répétition, mon interprétation s’améliorait et ces phrases que j’avais pioché à gauche, à droite, sortaient de ma bouche comme ci j’en étais le créateur.

Les phrases d’approches en stock sont super quand on ne veut pas se casser la tête, j’ai d’ailleurs écrit un E-book avec + de 130 phrases d’approches classées par situations si tu souhaites le voir, c’est parfait quand on débute en séduction et que l’on veut des phrases d’approches déjà testées qui marchent. 

Mais au bout d’un moment, on se lasse un peu des redites. Et avec l’expérience, on se sent plus à l’aise et on ose laisser libre court à son imagination. C’est pour cela que j’aborde avec des phrases d’accroche situationnelle: je repère un élément particulier sur son apparence par exemple, ou bien encore dans l’environnement autour de nous et j’aborde la conversation dessus. Du sûr mesure quoi!

Si vous débutez, ne vous prenez pas la tête si une idée fantastique ne vous vient pas à l’esprit. Il vaut mieux aborder une fille avec une phrase toute bidon que se brûler le cerveau pour trouver quelque chose qu’on ne pourra lui raconter car elle aura disparu.

Faites simple et concis:

« Salut… J’étais avec une amie et là je rentrais tranquillement chez moi. Et puis voilà je t’ai vu passer, tu m’avais l’air sympa et ça m’a donné envie de venir te parler… Enchanté moi c’est Logan! »

 

« Salut, je t’ai vu et tu m’as donné envie d’être poli donc… Salut! Je m’appelle Logan!»

Dans ces exemples: vous la voyez, quelque chose chez elle vous plait et vous le lui témoignez.

Vous lui présentez tout de suite votre intérêt et c’est ce qui légitimise la raison pour laquelle vous lui parlez.

Ces 2 phrases d’accroche sont qualifiées de «direct» car vous témoignez tout de suite votre intérêt.

 

Je conseille des approches «direct» lorsque vous n’avez pas le temps de tenter de décrocher une instant date. Comme vous n’avez pas le temps et que l’objectif est de prendre ses coordonnées pour la revoir, cette approche «coup de poing» est efficace car elle vous permet d’aller droit au but et de créer rapidement des émotions fortes.

 

Par contre, si vous êtes dans l’optique de faire un rencard dans la foulée/l’amener chez vous directement, il vaut mieux utiliser une approche indirecte pour voler sous les radars: c’est à dire que vous l’abordez sans témoigner un intérêt particulier envers elle.

En approche indirecte, vous pouvez par exemple l’aborder en lui demandant un avis féminin.

Exemple:

Salut, dis moi j’ai besoin de l’avis d’une femme. Comment je peux dire à une fille que je ne suis pas intéressé sans être méchant? Je n’ai pas envie de la blesser car elle est gentille, j’aimerais la garder comme amie…

Dans cette exemple, le contexte que vous crée est le suivant: vous réfléchissiez à une situation délicate que vous vivez en ce moment avec une femme et il se trouve que vous passez à ce moment à côté de votre cible. Vous pensez alors que l’avis d’une femme pourrait vous être utile. C’est votre excuse pour l’aborder.

Réfléchissez à des approches qui demandent l’avis d’une femme. L’un des thèmes de prédilection pour ce genre d’approche est celui des relation homme-femme. Et après lui avoir demander son avis, il est très facile d’enchaîner en lui demandant si elle a vécu quelque chose d’identique.

Puis, avec un peu d’expérience, on peut vraiment aborder avec n’importe quoi…

 

Une fois, j’étais au téléphone avec mon frère et j’ai abordé une fille ainsi:

« Salut, je suis avec ma mère au téléphone. Elle te passe le bonjour! ».

Elle m’a ensuite parlé de ses relations tumultueuses avec sa mère. Il a fallu rendre la conversation plus légère mais l’important était là: la conversation était lancée.

 

Et après, je lui dis quoi?

Lorsque vous draguez de jour, dans les 5-10 minutes qui suivent l’abordage, pas besoin d’accomplir des figures de styles. Engagez par des banalités, c’est toujours rassurant pour une cible qui est encore toute surprise de s’être fait abordée. Voici quelques idées de «bonnes» banalités.

 

Quoi dire alors?

 

  • Dites-lui ce que vous faisiez.

Décrivez-lui votre émotion sur le moment, celle qui vous a incité à venir lui parler. (Evidemment, évitez de lui dire que vous venez lui parler car vous avez envie de coucher avec elle. Un peu plus de poésie s’il vous plait, vous la connaissez à peine!)

Ex: Mon amie m’a raconté une superbe nouvelle et ça m’a vraiment mis de bonne humeur. J’avais envie de rentrer tranquillement chez moi, sans me coltiner tous ces gens dans le métro… tu sais comment c’est parfois triste de voir tout le monde tirer la tronche et te pousser dans tous les sens… bref, j’ai préféré éviter la contamination de la mauvaise humeur. Et nous voilà à discuter ensemble!
Ex2: Mon amie est rentrée d’Australie il y a quelques jours et ça faisait tellement longtemps que je l’avais pas vu. Ca m’a vraiment fait plaisir. Ce que j’adore chez elle, c’est qu’elle est très spontanée… on s’est bien marré. Du coup, je crois qu’elle m’a mis d’humeur à parler aux gens…
  • Devinez-ce qu’elle fait. Ca permet de créer un échange en évitant l’interrogatoire.
Ex: Toi aussi, t’as décidé de profiter du peu de soleil qu’il reste? Je parie que t’as eu une journée crevante au boulot et que tu ne voulais pas te coltiner les fous du métro!

C’est ce qu’on appelle le cold-reading. Vous supposez en vous basant sur son attitude, la tête qu’elle tire, son apparence. Le but n’est pas d’avoir juste mais de faire en sorte qu’elle vous corrige.

Ca y est, vous avez réussi à créer un échange.

 

  • Faites une remarque sur son apparence

Les femmes aiment être belles. Elles s’enquiquinent tous les matins pour paraître au summum de leur beauté.

Faites lui une remarque sur un élément de sa tenue ou son apparence. Je vous conseille d’éviter le «100% compliment»: le mieux est de doser compliment et taquinerie en fonction de «l’ouverture» de votre cible (si elle cool avec vous, ou si elle est froide comme un bloc de glace).

Plus elle est froide avec vous, plus vous devrez la taquiner (sans pour autant être méchant).

« Mais tu es toute petite,

tu mesures combien de millimètre? »

Voici ce que j’ai dit à une fille que j’avais abordé et qui était plutôt cool avec moi.

« Je t’ai remarqué car tu avais des vêtements pas très communs (j’ai tiré une sorte de grimace en disant «pas très commun») mais bizarrement, ça te donne beaucoup de style… »

Ou encore:

« Oh c’est trop mignon,

t’as le nez qui frétille quand tu souris!»

 

50% taquinerie, 50% compliment.

  • Parlez de ses passions

Demandez-lui, ce qu’elle aime faire lorsqu’elle a du temps libre, ce qui la passionne. Et si possible sans trop de cérémonie; le but est de rester léger.

– Alors, c’est quoi ton poison dans la vie?

 

– Dis moi, c’est quoi le TOP 10 de tes activités favorites?

Cela vous donnera des réponses plus débauchées qu’un sobre «Quelle est ta grande passion?»

Et vous avez plutôt intérêt à tenir des discussions dans le léger, la débauche que dans l’intellectuel si vous souhaitez aller au lit rapidement ;-).

 

Cela vous permet:

  • D’en savoir plus sur sa personnalité;
  • De trouver des passions communes;
  • De pouvoir discuter sur un sujet qu’elle aime et dont votre pote vous rabâche les oreilles (évidemment vous ne lui dites pas que c’est votre ami qui en est passionné, gardez tout le mérite pour vous ;-));
  • Etre intéressant oui, mais attention à ne pas tomber dans l’intellectuel

Vous pouvez lui dire des choses intéressantes, sur la psychologie ou les relations homme-femme. Cela montre que vous êtes intelligent, que vous avez eu suffisamment de relations pour prendre du recul et comprendre certaines choses à ce sujet.

Mais évitez de partir trop dans l’intellectuel, de citer des auteurs pointus à tour de bras ou des concepts archi-complexes. Trop faire dans l’intellectuel vous dévirilise. Vous êtes la pour la séduire, pour flirter, pas pour l’impressionner (du moins, elle ne doit pas s’en rendre compte!). Flirter est un jeu, ça doit rester léger. Si vous commencez à rentrer dans des débats avec elle, vous allez sortir du cadre de la séduction. Et ce n’est pas ce que vous voulez si vous voulez coucher rapidement.

 

Préparez des sujets en stocks

Bien sûr, je ne suis pas toujours frappé par l’inspiration. Lorsque cela m’arrive d’être à court d’idées, j’ai toujours 2-3 phrases d’accroches ou histoires en stocks à sortir.

Ayez toujours en réserve des histoires et un enchaînement de dialogue, que vous pourrez utiliser si vous avez un blanc, que vous êtes fatigué ou qu’elle ne vous aide pas dans l’échange.

Je peux tenir 2-3 heures avec mes histoires. Heureusement, j’ai rarement besoin de toutes les utiliser mais il faut toujours être préparer au pire.

Pas besoin d’aller jusqu’à pouvoir tenir 3 heures. Si vous avez une suite d’histoires, de questions funs qui vous permettent de tenir 10 minutes en toute fluidité, c’est très bien. De plus, vous pouvez toujours alterner des banalités avec vos histoires intéressantes pour tenir la discussion.

Vous pouvez aussi créer du désaccord pour alimenter la conversation. Mais comme dit plus haut, évitez les débats trop intellectuels. Vous pouvez même prendre des arguments insensés mais amusants pour montrer que vous ne vous prenez pas au sérieux.

Vous pouvez débattre sur les meilleurs gateaux entre les Pépito et les Granola ou qui sont les plus fidèles entre les hommes et les femmes…

Mais évitez entre autre les débats politiques ou religieux par exemple.

 

Toujours enchaîner!

Une fois que vous l’avez abordée, vous devez enchaîner! Votre phrase d’approche compte mais ce n’est pas le plus important. Lorsque je leur demande si elles se souviennent de ce que je leur ai raconté quand je suis venu leur parler, elles ne s’en souviennent jamais!

L’important dans les quelques minutes qui suivent votre abordage est de ne pas créer de blanc gênant. Parlez, faites-la parlez. Et même si vous ne savez pas de quoi, faites sortir des choses de votre bouche, une suite de mots logique va bien finir par en sortir!

Ca m’arrive de temps en temps de devoir parler 2-3 minutes tout seul avant que ma cible s’ouvre et qu’un dialogue intéressant s’installe. J’insiste tant qu’elle ne me fait pas signe qu’elle souhaite que je m’en aille et je persiste à lui raconter des histoires jusqu’au moment où l’une d’elle va la faire réagir. Ou bien je finis par lui demander son avis ou la réaction qu’elle aurait eu à ma place.

 

Évitez la déprime, apportez du positif

Lorsque vous abordez une femme, vous devez apporter de la valeur ajoutée. Comme tout le monde, il lui arrive d’avoir des journées de boulots mornes et ennuyantes à mourir. Et en plus avec l’approche de l’hiver, elle se sent seule, n’a plus rien à manger dans le frigo et son chauffage ne marche plus… La dernière chose qu’elle souhaite, c’est qu’un mec vienne lui ajouter des kilos de déprime sur les épaules!

 

Evitez les émotions négatives, les trucs gores et trash.

Apportez-lui de la bonne humeur, des émotions positives. Soyez léger

 

Conclusion

Vous êtes maintenant prêt à partir à l’assaut de toutes ses jolies femmes qui foulent les trottoirs de votre belle ville. C’est normal d’avoir peur lorsqu’il s’agit d’aborder une inconnue. Mais maintenant que vous avez les outils en main, cela devrait être du gâteau pour vous!

Préparez un petit plan avec ce que vous pouvez raconter en cas de blanc. Répétez un peu et sortez affronter votre peur. Vous vous rendrez compte à quel point c’est libérateur d’avoir oser, d’avoir vaincu ce que vous aviez tant redouté. La première approche faite, vous vous rendrez compte comment il est bien plus facile d’aller voir les suivantes.

Une chose très simple qui m’a beaucoup aidé à mes débuts, a été de noter sur une petite feuille les titres de mes histoires ou sur votre portable en fond d’écran ou bloc note. Cela me servait d’antisèche lorsque j’avais des blancs et je me souviens avoir réussi à mettre dans mon lit une cible totalement fermée en lui racontant des histoires intéressantes les unes à la suite des autres!

 

Evidemment, si vous vous en sentez vraiment incapable, vous pouvez faire appel à mes services pour vous épauler dans votre démarche. Je vous conseille tout de même d’essayer 1 ou 2 fois car je vous promets que vous ne risquez rien de grave, bien au contraire ;-).

Pour les plus expérimentés, n’hésitez pas à partager dans les commentaires, vos techniques et astuces pour maintenir une conversation entrainante. Quant à ceux qui débutent, posez vos questions ou écrivez vos idées d’approches faisant appel à un avis féminin, je me ferais un plaisir de vous répondre

 

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Je rappelle que j’ai également écrit un très bon un « E-book disponible ici dans la boutique, il s’intitule quoi dire à cette fille » et traite sur le sujet en profondeur mais en plus avancé, il vous permettra d’atteindre un niveau supérieur en communication avec les femmes. 

 

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La séduction parfaite

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La séduction parfaite

Durant les coaching séduction que je fournis et parmi les dragueurs que j’ai rencontrés durant ma «carrière», j’ai remarqué que beaucoup étaient atteint du «syndrome de la perfection»: la maladie de toujours vouloir faire les choses parfaitement, ce qui conduit généralement à l’immobilisme.
Oui, car lorsqu’on débute, tout est loin d’être parfait (ce qui est logique). Pourtant, le débutant ne veut pas «mal faire», ne veut pas déranger… alors il ne fait rien!

C’est pourquoi j’ai décidé d’écrire cet article où j’expose les bienfaits de se permettre de faire des erreurs et comment ce changement d’état d’esprit peut propulser littéralement votre niveau de drague.

  • Qu’est ce que la «séduction parfaite»?!
  • Les symptômes du syndrome de la perfection!
  • Les sources du problème!
  • Qu’est ce qu’une erreur?!
  • La sérénité comme moteur de progression!
  • Conclusion!

Quʼest ce que la «séduction parfaite»?

La «séduction parfaite», selon la croyance populaire, c’est lorsque vous parlez à votre cible, qu’elle est extrêmement réceptive, qu’elle rit à toutes vos blagues, qu’elle ne vous fait aucune résistance et avec qui coucher est aussi simple que d’ouvrir une canette de coca.
En somme, l’archétype du film pornographique, mais avec un peu de stress de votre côté quand même.

Le stress c’est humain et c’est normal, wikipédia dit que « Le stress est, en biologie, l’ensemble des réactions d’un organisme soumis à des pressions ou contraintes de l’environnement. Ces réactions dépendent toujours de la perception qu’a l’individu des pressions qu’il ressent. » et c’est ça le vrai stress. 

Évidemment, dans la vraie vie, cela n’arrive jamais, voir très rarement. Et même si ceux qui vous racontent leurs histoires de cul ne vous en parlent pas, ces messieurs ont toujours le droit à quelques résistances.

 Les symptômes du syndrome de la perfection

La question que vous êtes en raison de vous poser à la lecture de l’introduction de cette article est la suivante:

«Est-ce que je suis atteint de ce syndrome de la perfection?»

Analysez votre comportement pendant une drague:

  • Vous n’osez pas aborder car vous n’avez pas une bonne accroche en tête;
  • Vous avez peur de déranger votre cible;
  • Lorsque vous sentez que votre cible ne réagit pas conformément à vos attentes, vous vous dites que vous avez fait une erreur;
  • Lorsque vous faites une erreur, vous pensez que c’est foutu et vous vous éjectez de votre cible comme le ferait un pilote d’un avion en flamme.

Si vous présentez l’un de ces symptômes, je suis dans le regret de vous dire que vous êtes touché par le syndrome de la perfection. Mais pas d’inquiétude, vous n’êtes pas le seul.
Beaucoup sont passés par là avant vous et s’en sont très bien sortis.

Les sources du problème

Ce problème, qui touche beaucoup de dragueurs débutants et qui réapparait tel un bouton de fièvre endormi chez les plus expérimentés, provient de plusieurs origines.

  • La société

Depuis notre enfance, on nous apprend à tendre le plus possible vers la perfection. On nous note, on nous classe et l’on récompense les meilleurs.
On veut nous faire croire qu’être parfait, c’est ce qu’il y a de meilleur. C’est un peu comme ces étalages de pommes bien rondes et bien rouges qui se ressemblent les unes aux autres comme des gouttes d’eaux pour qu’on soit assuré de leurs qualités; alors qu’en réalité, une pomme naturellement difforme et pâlotte peut être délicieuse.

Tous les critères de réussite vus par la société et la semblante perfection qui nous entoure ne sont pas liés directement à votre apprentissage mais cette pression de la perfection altère votre approche de la séduction.

  • Les médias, les films

Dans les films, les stars les plus adulées, arrivent toujours à séduire les femmes sans se prendre aucun râteau, sans un reproche, sans une résistance. Tout est beau, tout est fluide, tout est parfait. La séduction idéale en somme, pensons-nous.
Alors forcément, nous aussi, nous nous mettons à rêver de pouvoir séduire les femmes de la même façon. Et l’on se dit que c’est ainsi que devrait se passer une rencontre avec une femme, lorsqu’on devient un grand séducteur… comme dans un film.

Mais on oublie que ce n’est pas réel, que la vie n’est pas un film. Il est donc insensé de chercher à reproduire le même déroulement parfait. Vous aurez beau jouer sans faute votre rôle du séducteur parfait, votre cible, elle, n’est pas une actrice!

  • Les mauvais ancrages

Qui n’a jamais senti sa bouche arriver sur la joue d’une fille avec l’assurance d’avoir viser ses lèvres au départ?
Nous nous sommes tous déjà fait rembarrer par une fille dont nous étions amoureux, ou avons tenté d’embrasser une fille et que celle-ci détourne le visage en nous répondant d’un air perplexe:

«Mais qu’est ce que tu fais? Attends, entre nous, c’est juste amicale hein… je ne sais pas ce qui t’a fait croire que les choses allaient plus loin entre nous!»

Les mauvais souvenirs peuvent parfois nous marquer au fer rouge si nous n’arrivons pas à nous en défaire. Et l’on a peur de se planter à nouveau!
Vous imaginez bien qu’un homme qui décide d’aborder dans la rue mais qui mange râteau sur râteau pensera que draguer dans la rue est impossible et effrayant… Jusqu’au beau jour où, munie de la bonne méthode, il aborde avec réussite! Tout semble alors possible pour lui et ses croyances sont bouleversées.

  • Les communautés de séduction

Lorsque j’ai commencé la drague, je suis passé sur des forums qui se spécialisent dans la séduction mais je me suis rapidement rendu compte du temps que j’y perdais. J’ai préféré miser mon énergie sur l’expérience du terrain plutôt que la discussion.
Ce que j’ai pu voir sur les forums à l’époque, m’avait un peu navré car je m’attendais à un endroit où les membres se concentraient sur l’atteinte d’objectifs. Mais au lieu de ça, j’y ai vu beaucoup plus de théoriciens de la drague, de personnes prétentieuses prêchant la bonne parole et dénigrant toute autre façon de faire. Et le pire, à mon avis, était les rapports de drague extrêmement romancés et vicieusement agréable à lire, qui mettaient sous les feux des projecteurs les protagonistes, qui idéalisaient les rencontres de ces très bons écrivains, et où il ne se passait absolument rien.

Ces bouts de romans amoureux sont en réalité des pièges qui peuvent causer extrêmement de tord envers les débutants en quête d’un modèle de drague.

J’ai aussi remarqué que beaucoup de séducteurs inefficaces misaient tout sur la forme et en oubliaient le fond. En cherchant à parfaire le processus de séduction, ils en oubliaient le but principal: réussir à coucher avec une femme.

  • Sa propre croyance de ne pas être capable

Beaucoup de débutants viennent chercher des informations sur les sites et les forums de séduction car ils pensent qu’ils leur manquent des capacités innées: humour détonnant, sens de la répartie renversant et prose envoutante… Alors qu’en réalité, ils n’ont nullement besoin de tout cela, mais que c’est plus facile de croire qu’il leur manque quelque chose de quasi-inaccessible, ou en tout cas, de difficilement obtenable.
Car ainsi, ils peuvent alors justifier leur inaptitude et freiner le moment où ils devront mettre les mains dans le cambouis pour acquérir la compétence.

Croyez moi lorsque je vous dis qu’en général, vous n’avez pas besoin des 80% de ce que vous pensez avoir besoin.

La chose dont vous avez le plus besoin, c’est d’essayer et de vous autoriser à faire des erreurs, d’accepter que vous en ferez. Et d’apprendre de ses erreurs.

Quʼest ce quʼune erreur?

Ce que j’appelle une erreur, c’est simplement les actions de votre part qui vont desservir votre objectif: mettre la femme dans votre lit. Parfois, c’est lorsqu’on perçoit que notre cible réagit différemment à ce que l’on s’attendait qu’on pense que c’est une erreur.

 Or ce n’est pas toujours le cas. Une fois, j’ai rencontré une femme avec qui je me vantais d’en avoir mis plein dans mon lit et je sentais qu’elle n’appréciait pas. Pourtant, j’ai quand même réussi à coucher avec elle.

Malheureusement, l’idée de faire une erreur bloque les apprentis dragueurs et les font abandonner à la première venue.

Les erreurs courantes

Voici quelques erreurs courantes qui peuvent vous éloignez de votre objectif:

  • Accentuer vos défauts et mettre en avant votre faible valeur (DLV: «Demonstrate Lower Values»)
ex: Vous lui révélez avec gravité que vous êtes sans emploi et que vous n’avez pas fait l’amour
depuis 1 an.
  • Montrer trop dʼintérêt absolu envers votre cible
ex: Vous lui dites sérieusement qu’elle est trop belle, qu’elle a des yeux tellement beau que vous voulez vous marier avec elle.

En somme, vous lui faites trop de compliment et ne jouez pas assez sur l’ambiguïté de vos sentiment envers elle.

  • La toucher bizarrement

A chaque fois que vous la touchez, elle ne se sent pas à l’aise car cela ne lui parait pas naturel.

  • Sexuer maladroitement

Vous voulez sexuer la conversation mais vous le faites de façon trop lourde et maladroite.

  • Parler de sujets controversés

Religion et politique sont, par exemple, 2 sujets qui entrainent généralement des débats houleux et impropre à créer une ambiance propice au sexe.

  • Acheter ou donner quelque chose à une fille quʼon connait à peine

Même si vous souhaitez lui donner l’impression que vous êtes suffisamment nanti pour subvenir au besoin de votre potentiel partenaire (ce qui est en soi un indicateur de valeur), vous vous y prendrez très mal de cette façon.
La seule chose qu’elle verra, c’est que vous payez pour obtenir ses faveurs.

Ce n’est pas grave de faire des erreurs. Dans une drague, on en fait tous et moi le premier. Par contre, il est important de repérer les erreurs que l’on fait pour pouvoir les corriger.

Si par exemple, je dis à ma cible que je suis au chômage et que je n’ai pas fait l’amour depuis 1 an sur le ton de l’humour mais qu’elle tire un regard perplexe, signe qu’elle n’a pas compris que je rigolais, je vais réparer cette erreur en la taquinant sur le fait qu’elle n’a pas d’humour et qu’elle est vraiment naïve.

Attention, erreurs fatales…

Prenez garde, il y a erreurs et erreurs… Evidemment, certaines ne sont pas bonnes à faire:

  • Les disqualifications moralement irrattrapable

On peut se disqualifier pour créer de l’attirance. Quelque chose que j’aime bien utiliser pour me disqualifier est la routine de la petite soeur:

« Oh, c’est trop mignon. C’est tellement dommage que je sois vieux pour toi… C’est pas grave, je vais te prendre comme petite soeur. »

Par contre, si vous vous disqualifier avec quelque chose qui va contre sa moral, ce sera quasiment impossible de rattraper le coup:

Ex: Ca marchera jamais entre nous, je suis marié et j’ai 2 enfants… mauvaise disqualification!
  • Insulter ses amis ou sa famille
  • Traiter les autres filles de salope, dire quʼil y a des filles faciles

Si vous vous mettez à insulter devant elles toutes vos ex-copines ou des passantes, elle pensera que vous n’avez aucun respect pour les femmes et elle n’aura aucune envie de coucher avec vous… surtout si c’est pour que vous parlez en mal d’elle derrière son dos.

La sérénité comme moteur de progression

Ne pas se focaliser à séduire à la perfection et se permettre de faire des erreurs augmentera votre potentiel de séduction.

Si vous cherchez à être parfait à tout prix, vous allez être crispé, vous réfléchirez sans arrêt avant de dire quelque chose et vous perdrez en naturel.

Lorsqu’on accepte de faire des erreurs, on est plus tolérant envers soi même, on est beaucoup plus calme et cela se ressent dans nos gestes, notre voix. Et comme on est préparé à faire des erreurs, on est alors plus apte à les réparer.
Sans oublier que cela nous permet de vraiment nous lâcher, d’oser des choses et d’être en phase avec notre personnalité.

Conclusion

L’objet de cet article n’est pas de vous donner une technique ou une astuce de drague mais de vous faire réfléchir.

Demandez-vous ce que représente la séduction parfaite pour vous, car votre vision influe sur vos blocages et votre progression.

Alors que pour certains, la séduction idéale serait de réussir à débiter de belles phrases qui feront chavirer le cœur de leur dulcinée, ma vision est beaucoup plus simple. Pour moi, je considère que la séduction est parfaite lorsque j’arrive à coucher avec ma cible, même si mes moyens manquent d’élégance.

Quelque soit votre point de vue, je ne vous conseille pas d’essayer d’atteindre la «perfection artistique» en séduction, car cela demande tellement d’effort que ça n’en vaut pas le coup. Et selon la loi de Pareto (ou la loi des 80/20), 80% du résultat provient de 20% des efforts. Ps : J’avais aussi écrit un article intéressant 80% des hommes couchent avec 20% des femmes.

Alors, pourquoi se fatiguer autant? 😉

Vous devez accepter de faire des erreurs, d’être plus tolérant avec vous même. Vous verrez à quel point c’est libérateur.

Vous oserez beaucoup plus, vous serez plus naturel et au final, vous vous rendrez compte que ce que vous n’osiez faire de peur qu’elle ne le prenne mal passe plutôt bien.
Et c’est ainsi qu’à force d’oser plus, vous progresserez plus rapidement.

Et si vous vous plantez? Ce n’est pas grave! On s’en fout, vous n’allez pas en mourir!

Faites des erreurs et n’abandonnez pas à la première. Prenez comme exemple, un enfant qui apprend à marcher. Imaginez-vous un instant qu’il abandonne dès son premier échec, à sa première chute?
Le plus important n’est pas de faire la drague parfaite mais de repérer les erreurs que vous faites et de les faire oublier le mieux possible. Qu’est ce qu’une erreur, si derrière, vous faites 10 actions ou raconter 10 histoires qui vont la faire brûler de désir pour vous?

Gardez en tête que la séduction n’a rien à voir avec ce que l’on peut voir dans les films. Et entre nous, préférez-vous séduire une femme, sans finesse, avec un jeu bourré d’erreurs et d’avoir réussi malgré tout à coucher avec elle? Ou préférez-vous faire un jeu de séduction magistral, digne des plus grands films, plein d’élégance et de répartie, mais en ne repartant à la fin qu’avec un sourire de la jolie femme que vous convoitiez?

Personnellement, j’ai fait mon choix… Et vous?

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COMMENT RÉCUPÉRER SON EX ?

COMMENT RÉCUPÉRER SON EX ?

COMMENT RÉCUPÉRER SON EX ?

D’abord, faisons un rapide flashback sur la façon dont ça a pu se passer.

Tu pensais filer le parfait amour avec ta copine. Elle était cool, vous aviez vos petites habitudes, vos repères, vos amis communs. Tu t’es souvent répété : « je la kiffe, c’est sûrement la bonne ». Certaines idées folles t’ont même caressé l’esprit : des projets à deux, des voyages, des rêves d’appartement avec labrador et cheminée en option. Sauf qu’un jour, elle a décidé que ça suffisait. Tu es un mec génial, elle te l’a même répété, mais elle a eu besoin de prendre un grand bol d’air. Loin de tes bras et sans billet retour. Après avoir encaissé l’uppercut de la rupture puis réfléchi, tu as conclu une chose : tu veux vraiment la garder. Voici un plan d’action en mode commando pour savoir comment récupérer ton ex.

I – LA CHRONOLOGIE DE LA RUPTURE : RAPPEL DES FAITS

Avant la rupture, il y a toujours des signes extérieurs qui mettent la puce à l’oreille, puis une officialisation un jour J.

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LES SIGNES QUI MONTRENT QU’ELLE EST SUR LE DÉPART

La plupart des femmes quittent leur mec après y avoir réfléchi un bon moment. Or pour un homme, les signaux qui montrent que la fille songe à partir ne sont pas faciles à identifier. Les petits changements d’attitude sont subtils au départ. L’homme se réveille souvent trop tard.

Tu dois avoir la puce à l’oreille quand mademoiselle prend ses distances, par exemple :

  • elle prend l’air de plus en plus soucieuse
  • lors d’une discussion, elle se prend la tête et fait des reproches pour un oui ou pour un non
  • elle repousse le contact physique

 

L’ANNONCE « OFFICIELLE » DE LA RUPTURE

Un jour, alors que vous avez tous les deux rendez-vous, tu reçois un sms laconique qui signifie « il faut qu’on parle… ». La tension monte pour aller au lieu de rendez-vous. Tu commences à craindre le pire. Au lieu de t’accueillir en t’embrassant comme d’habitude, elle reste sur ses gardes, le regard fuyant.

Elle explique alors que les choses ont changé :

  • elle a beaucoup réfléchi,  mais vraiment votre relation, ce n’est plus comme avant
  • c’est entièrement de sa faute, parce que tu es un mec super
  • ou alors, elle a besoin de faire un break (mais il y a des chances que ce soit une pause définitive)

recuperer son ex

LA RÉACTION LOGIQUE DU MEC LARGUÉ

Face à l’annonce de la rupture, tu l’implores, tu essayes de la raisonner. Habitué comme tout bon garçon à un raisonnement cartésien digne d’un prix Nobel de mathématiques, tu essaies d’identifier toutes les hypothèses :

  • elle a rencontré un autre mec,
  • tu as fait tel connerie qu’elle n’a pas supporté
  • elle s’est fait monter la tête par une amie, etc.

 

Pour contrecarrer ses arguments, tu t’embarques dans une négociation de marchands de tapis à coups de « oui mais regarde » pour vanter tes qualités, les fous rires ou les dernières vacances ensemble au soleil, etc. Hélas, rien n’y fait. Tes questions et tes réponses ressemblent à :

  • « Si je suis si bien que ça, pourquoi tu me quittes ? »
  • « je peux changer, je vais faire des efforts ! »
  • « donne-nous encore une chance ! »
  • « on est trop bien ensemble, c’est si bête d’arrêter maintenant ! ».

 

Peine perdue, dans des flots de larmes, elle annonce que sa décision est ferme et définitive. Tu as beau être un gars super et qui mérite d’être heureux, c’est quand même fini. Le sol se dérobe sous tes pieds, tu as la gorge serrée en rentrant chez toi. Tu découvres qu’une peine de cœur peut faire physiquement aussi mal qu’un coup de poing dans le foie.

Tu passes par une tempête de sentiments : tristesse, injustice, colère, frustration, espoir que ça ne soit qu’un passage… Sauf que non, elle est bien décidée à terminer la relation.

Est-ce que c’est foutu ? Non, mais il faut d’abord vérifier si elle vaut la peine de la récupérer.

 

II – POURQUOI CHERCHER À RÉCUPÉRER SON EX ?

 L’état d’esprit est souvent de virevolter de femme en femme, découvrir leurs charmes, séduire, conclure, séduire à nouveau et vivre une abondance sexuelle. On peut aussi bien s’arrêter sur une relation longue. Mais toujours dans un état d’esprit positif et en partant du principe que les femmes doivent vous mériter !

En cas de rupture, beaucoup diront avec raison « next, le monde est plein de femmes, passons à une autre plus jolie et plus sympa ! ». Une histoire se termine rarement pour de mauvaises raisons, et se remettre ensemble risque de ne rien donner de bon. Si c’est pour se séparer à nouveau dans un an, à quoi bon ?

Mais dans certains cas, le jeu peut en valoir la chandelle.

 

5 SIGNES QUI MONTRENT QU’ELLE N’EN VAUT PAS LA PEINE

Prends un peu de temps pour réfléchir à ce que t’apporte votre relation. Il faut répondre le plus sincèrement possible, en notant sur une feuille si cela t’aide à y voir plus clair.

Est-ce que cette fille vaut vraiment la peine que j’essaye de la récupérer ?

Voici cinq situations où il faut passer à autre chose :

  • si elle t’a trompé ou t’a menti,
  • si elle s’est beaucoup moins investie que toi dans la relation,
  • si elle ne te satisfaisait pas sexuellement ou affectivement,
  • si tu regardes les autres filles avec intérêt et envie
  • si elle te critique souvent ou représente un obstacle entre toi et tes rêves

 

Dans ces cas, sauf rarissime exception, ne perds pas ton temps avec elle. Réagis, remets toi à flot : sors, drague, fais un retour fracassant dans le monde des célibataires qui veulent croquer le monde (et des paires de fesses) !

 

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3 RAISONS QUI FONT QUE TU PEUX CHERCHER À LA RÉCUPÉRER

Voici quelques arguments (la liste n’est pas exhaustive) qui peuvent t’inciter à la récupérer :

  • au passé, votre relation était vraiment géniale, équilibrée à ton point de vue
  • au présent, la fille continue d’avoir du respect pour toi et n’a rien fait d’inacceptable pour en venir à la rupture
  • au futur, tu te vois faire ta vie avec elle et vieillir à ses côtés

 

Alors si c’est comme ça, OK pour la reconquérir. Mais pas n’importe comment.

CINQ ÉTAPES INDISPENSABLES POUR RÉCUPÉRER SON EX

ETAPE 1 : SILENCE RADIO

La première chose à faire : disparaître des écrans radars pendant quelques semaines. Sous aucun prétexte tu ne devras entrer en contact avec ton ex. Ni physiquement, ni au téléphone, rien.

Alors on déconnecte et on ne fait aucune action vers elle qui ressemble à ça :

  • pas d’appel téléphonique
  • pas de message via les réseaux sociaux type Facebook !
  • pas de texto
  • pas de prise de nouvelles par une amie

 

Evidemment tu risques d’être tenté, dans un moment de faiblesse.

Ce serait LA PIRE des choses à faire et tu risques de le regretter immédiatement. En la contactant, tu perds de la valeur à ses yeux et semble dans le besoin. Au contraire, il faut que ton silence l’intrigue et qu’elle s’interroge.

Les questions qu’elle doit se poser :

  • comment vas-tu ?
  • avec qui es-tu ?

 

Il faut qu’elle ressente ton absence pour deux raisons :

  • le silence radio complet va t’éviter de perdre encore plus de valeur à ses yeux
  • la fille pourra ressentir la douleur d’être loin de toi et surtout de te « perdre » définitivement

Couper tout contact est très important pour se vider la tête. Tu vas devoir te sevrer de ta dépendance affective envers cette ex.

 

ETAPE 2 : COMPRENDRE POURQUOI ELLE T’A QUITTÉ

Pendant que tu fais le mort, profite de cet temps pour analyser les raisons de votre séparation et en faire une listePourquoi as-tu perdu tant de valeur à ses yeux, pour qu’elle décide de te quitter ? Les torts sont souvent partagés, mais le plus important est d’assumer ses propres erreurs pour pouvoir les travailler, les améliorer, et progresser ! Les motifs de la rupture sont structurel, conjoncturel ou les deux. On explique.

Trouve les problèmes structurels dans ton couple

Ce qui est structurel, c’est ce qui est lié à ce que tu es, à ta personnalité, à tes qualités et défauts, à ton comportement.

Voici des exemples de problèmes liés à la façon d’être. Elle est différente pour chaque personne, mais il y a des classiques :

  • pas d’envie de s’investir dans le couple,
  • jalousie excessive et impossible à contrôler
  • pas de volonté de faire des efforts pour voir les amis de l’autre
  • un désir permanent de liberté, d’être seul, etc.
  • un désir sexuel en déséquilibre avec l’autre
  • pas de partage sur des valeurs morales

 

Trouve les problèmes conjoncturels dans ton couple

Les problèmes conjoncturels sont liés au contexte, à l’environnement. Ils sont extérieurs à la personnalité, et on peut souvent les modifier plus facilement avec le temps qu’un trait de caractère. Des exemples de problèmes conjoncturels qui font casser un couple :

  • le boulot : ton travail très prenant ne te permet pas de consacrer assez de temps à ta relation
  • la distance : vous vivez dans des villes ou des pays différents
  • l’argent : elle aspire à un meilleur niveau de vie
  • le cercle social : ses amis ou sa famille ne t’aiment pas

Une fois les raisons de la rupture identifiée, tu peux y voir plus clair sur les solutions à mettre en place.

 

ETAPE 3 : LE FORMATAGE, POUR TROUVER UNE SOLUTION AUX CAUSES DE LA RUPTURE

Prends maintenant chaque problème de ta liste et essaye de le faire évoluer vers du positif. Attention, il ne s’agit pas de changer de caractère pour correspondre à tout ce que veut ton ex. Il s’agit plutôt de grandir, de mûrir, de prendre des décisions pour évoluer positivement, mais toujours en accord avec ta personnalité et ta nature profonde.

  • Tu es extrêmement jaloux ? Travaille sur la confiance en soi
  • Elle te reproche un look négligé ? Fais un effort pour mieux t’habiller et prends des mesures réelles
  • Vous ne sortez jamais parce que tu préfères jouer à la console ? Redécouvre le plaisir de sortir avec elle, de socialiser
  • Elle te reproche d’avoir du ventre ? Fais du sport.

 

Encore une fois, il ne s’agit pas de se transformer en quelqu’un d’autre. L’idée est de profiter de ce moment de ta vie pour voir si tu peux améliorer ces aspects, et y prendre du plaisir. Quelle que soit l’issue de ta tentative de reconquête, ces efforts entrepris pour t’améliorer te serviront toute ta vie ! Une fois que tu auras travaillé ces aspects, tu vas pouvoir apparaître sous ton meilleur jour pour faire regretter à ton ex de t’avoir plaqué.

 

ETAPE 4 : REPRENDRE CONTACT

L’appel au téléphone est le moyen le plus immédiat mais aussi le plus risqué pour reprendre contact et discuter avec son ex.

Veille à suivre ces conseils :

  • ne pas être trop tendu (pour te mettre à l’aise, tu peux appeler un copain quelques minutes avant et discuter ensemble de conneries),
  • ne sois pas négatif, ne semble pas triste ou déprimé
  • évite de bégayer, de cafouiller, d’avoir une voix d’outre-tombe

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 Pleurer pour reconquérir une ex ? On évite à tout prix

Elle sera surprise. Elle s’attendait à une conversation « lourde », faite de reproches, de demandes d’explications ou d’implorations. Au contraire, reste léger ! Appelle-là pour un motif anodin et montre-lui que tu es calme, positif, que ça va bien, que cette épreuve t’a fait mûrir.

Si l’appeler au téléphone semble trop difficile, tu peux essayer les textos pour tester sa réaction, mais toujours de façon innocente. Il faut éviter absolument les reproches ou le romantisme, et donner l’impression d’une attitude positive et détachée.

Pendant cette reprise de contact, propose un rendez-vous de façon innocente et non insistante, comme avec un pote du style « tiens, ça pourrait être sympa de prendre un verre la semaine prochaine ». Tu dois laisser entendre que tu vas bien, que tu avances dans ta vie. Si elle refuse, ne montre pas ta déception mais plutôt du détachement. Tu pourras retenter ta chance un peu plus tard. Si elle accepte, c’est que l’heure de vérité approche…

 

ETAPE 5 : LA RENCONTRE, POUR SÉDUIRE SON EX À NOUVEAU

Elle a donné son accord pour se revoir. Le plus important sera de paraître détendu et naturel. Ce rendez-vous n’est pas un grand moment romantique ! Ce n’est pas non plus un moment pour régler ses comptes !

Evite de parler de votre rupture ou alors en pratiquant l’autodérision. Mieux vaut parler de ta vie actuelle qui est épanouie, et lui faire comprendre que cette période post-rupture t’a fait réfléchir et progresser.

Fais comprendre subtilement que tu as des projets pour l’avenir, que tu agis pour corriger les défauts qu’elle te reprochait.

Par exemple, si elle te reprochait ton style vestimentaire, viens mieux habillé. Si elle te reprochait d’être peu sociable, explique que tu as retrouvé des amis et que vous faites la fête régulièrement.

Ta mission sera d’apparaître le plus attirant possible sans en faire des caisses :

  • montre-toi sous ton plus beau jour en insistant sur les traits de caractère qu’elle aimait chez toi
  • dévoile subtilement que tu as changé
  • fais-lui comprendre que les reproches qu’elle a pu faire ont été atténués
  • regarde-la dans les yeux, écoute-la
  • montre que tu as mûri et que tu as des projets

 

Reste toujours légèrement détaché : si elle remarque tes changements, ne rentre pas dans les détails du processus. Fais-lui comprendre que c’est avant tout « pour toi plutôt que pour elle » que tu t’es amélioré.

À la fin du rendez-vous, ses réactions t’auront mis sur la voie. Ne sois pas trop entreprenant. Propose-lui plutôt de vous revoir bientôt. Si ton comportement l’a agréablement surprise, elle te le fera rapidement savoir.

 

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