Conseil Séduction : I.V.I (« Interruption Volontaire d’Interaction »)

Conseil Séduction : I.V.I (« Interruption Volontaire d’Interaction »)

Conseil Séduction : I.V.I (« Interruption Volontaire d’Interaction »)

Lorsque que vous êtes dans le début d’une interaction avec une femme, et que tout se passe bien (surtout si tout se passe bien en fait), il est souvent utile de « casser le moment », interrompre brutalement l’interaction, ou rompre le rapport pour employer la traduction de l’anglais. 

C’est un concept qui n’est que très rarement, pour ne pas dire jamais, abordé par mes confrères coachs en séduction ou dans les forums de conseils en séduction, et qui pourtant présente de multiples avantages. Alors pourquoi « casser le moment », pourquoi se tirer une telle balle dans le pied me direz-vous ?
Beaucoup d’entre vous pensent que c’est du sabotage, que c’est contre-positif et ne voient pas l’intérêt d’une telle action. J’aimerai que vous envisagiez ceci sous un nouveau jour, et je vais vous expliquer pourquoi.

Et quoi de mieux pour expliquer cela qu’une jolie petite mise en situation ? Voici le scénario idéal, qui n’est pas si loin de la réalité si vous suivez les bonnes étapes !

Vous êtes dans un bar ou dans une soirée, vous venez d’aborder une fille et entamez une discussion avec elle. Comme vous suivez mes conseils depuis un moment, vous savez comment mener une conversation intéressante et captivante ; après avoir partagé un éclat de rire avec elle suite à une blague ou une situation marrante, où bien établi une connexion forte grâce à une histoire vous impliquant tous les deux, arrive inévitablement un moment ou vous atteignez un « pic de rapport », une sorte de point culminant dans l’énergie de la conversation entre vous deux (cela arrive généralement, et devrait idéalement, au bout de 5 à 15 minutes d’interaction). C’est  bizarrement ce moment, ou tout semble pourtant aller pour le mieux dans le meilleur des mondes des bisounours de la séduction, que vous vous excusez auprès de la demoiselle et allez rejoindre vos amis, passer un coup de fil ou faire tout autre chose.

Plus tard dans la soirée, vous la retrouverez pour reprendre sereinement la discussion avec elle, et elle sera ravie de vous retrouver. Et grâce à votre talent de séducteur vous pourrez conclure avec la jeune fille, soit en prenant son numéro et en planifiant une future rencontre, soit en l’embrassant et en planifiant aussi une autre rencontre (quel intérêt sinon…) ou en finissant carrément la nuit en sa compagnie.

Qu’est-ce que cela démontre ?

Lorsque vous agissez ainsi, une partie du cerveau de la fille va se dire « tiens, qu’est-ce qu’il se passe, d’habitudes les gars ne font pas ça, ils ont plutôt tendances à me coller au derrière toute la soirée… Pourquoi est-ce qu’il s’en va ???  »
Cela aura pour effet de créer une certaine insécurité, un doute dans l’esprit de la fille quant à vos intentions et l’intérêt que vous lui portez, ce qui est une bonne chose. Souvenez vous de ce que je dis à propos de l’imprévisibilité. Surprendre une femme en brisant les schémas habituels des autres gars qui la courtisent vous rend attirant. Vous vous distinguez de la masse d’une manière positive et excitante.

Cela démontre aussi qu’elle n’est pas l’unique raison que vous avez de passer une bonne soirée, où votre unique objectif de la soirée. Votre temps est précieux et limité, ce qui vous donne donc de la valeur.

Cela donne à la fille le sentiment qu’elle n’a pas tout pouvoir sur vous (à l’inverse des autres hommes), et que vous pouvez lui filer entre les doigts à n’importe quel moment. C’est une caractéristique qui plaît énormément aux femmes car cela intensifie le challenge que vous représentez pour elles. C’est à dire que ce sera en partie à ELLE de faire des efforts pour vous intéresser et pour que vous passiez du temps avec elle.

Et enfin, le fait de revenir plus tard reprendre la conversation communique aussi que vous avez assez confiance en vous pour quitter volontairement une interaction positive en étant sûr de pouvoir la reprendre plus tard.
Vous véhiculez donc de la confiance, de la valeur, et vous distinguez des autres gars qui la draguent.

Pourquoi interrompre l’interaction sur une note positive ?

Si tout se passe bien, autant continuer sur la lancée me direz-vous. Et bien c’est justement là l’erreur que font la majorité des hommes : lorsque l’interaction se passe bien, ils foncent tête baissé pour essayer de maintenir à tout prix ce niveau d’énergie et de connexion, pour en tirer un maximum de profit. En agissant ainsi, ils perdent l’opportunité de démontrer toutes les qualités et les caractéristiques expliquées avant.

De plus, comme la nature est bien (où mal, selon où l’on se place…) faite, après un « haut » viens toujours un « bas », et il arrivera donc forcément un moment ou l’énergie de l’interaction redescendra, soit parce qu’un blanc va s’installer, soit parce qu’un élément extérieur va venir créer une perturbation, etc. Et c’est souvent à ce moment là que les hommes vont faire le « break ». Et une fois de plus, c’est une grave erreur !

En interrompant l’interaction sur une note positive, vous allez créer une sorte de « manque », de frustration chez la fille, et lorsque vous reviendrez la voir plus tard dans la soirée, vous pourrez être sûr de reprendre la conversation sur des bases solides et positives, auxquelles viendront s’ajouter tout ce que vous avez pu démontrer en agissant de la sorte.

En revanche, en quittant l’interaction sur une note négative, dans un « creux » d’énergie et de connexion, c’est ce qui réapparaîtra lorsque vous reviendrez engager la conversation plus tard. Vous aurez beaucoup plus de mal à rétablir la connexion qui avait pu être créée.

Et ensuite ?

Lorsque vous retournez la voir, elle sera donc très encline à vous accueillir de nouveau. Si vous avez fait les choses convenablement, il est même fort probable que ce soit elle qui revienne vers vous en premier, ce qui est un signe évident et tangible que vous avez créé de l’attraction, et que vous pouvez donc pousser  l’interaction encore plus loin en toute sérénité.

 Si elle est occupée à discuter avec un autre homme et qu’elle à l’air de s’ennuyer, alors vous serez en plus son sauveur en venant la sortir de ce pétrin. Vous pouvez lui faire un petit signe marrant dans le dos du gars en question (mimer un bâillement, le temps qui passe, etc.). Si elle est avec ses amis, vous pouvez tout naturellement arriver dans le groupe, saluer les gens, vous mettre près d’elle lui demander comment se passe sa soirée, ou enchaîner directement sur quelque chose dont vous parliez au début.

Soyez juste naturel, à l’aise et confiant dans le fait que vous serez accueilli de manière positive par la fille ! A vous ensuite de faire évoluer les choses durant le reste de la soirée.

Rompre le rapport dans la rue

Dans les exemples que j’ai pris dans cet article, je parle toujours de ce conseil dans le contexte d’un bar ou d’une soirée, mais cela fonctionne aussi très bien dans la rue ou dans un autre lieu public, à la différence près que vous risquez moins de venir retrouver la filles quelques dizaines de minutes plus tard, mais cela n’a pas d’importance. 

Une fois que vous avez abordé la fille et que vous avez atteint ce « pic de rapport » (appelé « hook point » dans le jargon anglo-saxon), vous pouvez tout à fait rompre le rapport en disant que vous êtes pressé et que vous avez des choses à faire, ce qui est tout à fait cohérent si vous êtes dans la rue ou dans un magasin (bien plus que de rester accroché pendant une heure à une fille que vous ne connaissez pas…). Vous ajoutez ensuite que cela vous à fait plaisir de discuter un moment avec elle, que vous l’avez trouvé sympa et que vous aimeriez poursuivre la conversation une prochaine fois. Arrivé à ce point, prendre son numéro de téléphone ne devrait pas vous poser de soucis !

Une chose encore, prenez bien le temps de dire au-revoir après avoir pris le numéro, ou même de rester 2 minutes de plus (pas très cohérent avec le fait d’être pressé, je suis d’accord, mais ce n’est pas bien grave…), afin de solidifier le pic de rapport dans lequel vous étiez et de ne pas le laisser s’effondrer sitôt après avoir pris le numéro.

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Séduction et zone de confort

Séduction et zone de confort

Séduction et zone de confort

Wikipedia définit la zone de confort comme un état psychologique dans lequel une personne se sent à l’aise.

Beaucoup de personnes pensent que pour être plus performants dans bien des domaines, il faut disposer de techniques redoutables, d’une expérience solide ou encore d’un don, d’une aptitude innée que l’on ne peut développer si l’on en dispose pas dès le départ. Alors ils travaillent dur pour rattraper leurs lacunes, ou abandonnent avant même d’avoir commencé.

Mais ces personnes se trompent de combat.

Quelque soit le domaine concerné, le constat est bien souvent le même : nous sommes les acteurs de notre propre défaite, car nous sommes prisonnier de notre zone de confort.
  • Comprendre la notion de zone de confort pour mieux la combattre

Pour simplifier, en matière de comportement, notre zone de confort représente l’ensemble des actions que nous entreprenons pour aboutir à un résultat et qui ne nécessitent aucune prise de risque, même relative, de notre part.

Et par extension, se situent donc en dehors de notre zone de confort toutes les actions que nous assimilons comme étant « risquées » (consciemment ou non, cela dit…) et que nous n’osons donc pas faire.

D’un point de vue strictement biologique et évolutionniste, notre zone de confort n’est pas là pour rien, mais bien pour nous protéger d’un éventuel danger de blessure ou de mort.

Si nous n’avons pas de problème à sauter d’un muret de 70cm de haut, il nous est en revanche bien plus dur d’avoir le cran de nous jeter du haut d’un mur de 5 mètres ! C’est normal, notre inconscient nous dit qu’il y a potentiellement un danger de nous blesser, voire de nous tuer. Pourtant, il est possible de le faire sans aucun risque, avec la bonne technique, comme les yamakazis ! Mais pour cela, il nous faudra repousser les limites de notre zone de confort…

  • Un problème de réglage…

En fait, ce n’est pas tant notre zone de confort qui pose problème, mais plutôt son étroitesse. Et oui, quoi que l’on en dise, au moins dans ce cas là, la taille compte ! Plus notre zone de confort est étroite dans un certain domaine, et moins l’on est capable de « prendre » de risque, donc d’être performant.

Malgré le fait, assez appréciable, que notre zone de confort nous empêche de nous écraser du haut d’un mur de 5 mètre, elle nous empêche aussi de réaliser certaines action de la vie quotidienne qui sont complètement dénuées de tout risque physique, mais auquel nous associons un risque émotionnel en cas d’échec : sentiment de rejet, frustration, honte, etc…

Notre zone de confort n’est confortable que si l’on a rien à réaliser ! Mais qui veut d’une vie sans rien à réaliser, rien à accomplir ?

En matière de séduction, puisque c’est cela qui nous intéresse, notre zone de confort va nous permettre ou non d’aller discuter avec cette jolie brune sur le banc d’en face, ou d’inviter à boire un verre cette fille que nous convoitons depuis plusieurs jours (si ce n’est semaines/mois/années…) déjà, ou encore nous empêcher d’aller au delà du simple flirt avec telle personne, de peur de ruiner le peu d’intimité et de connexion que nous avions déjà réussi à créer.

Au final, notre honneur et notre état émotionnel sont saufs, puisque nous n’aurons subi aucun rejet, aucune honte, aucun embarras, mais nous ne serons pas plus avancés !

 

 Autrement dit, notre zone de confort nous empêche d’atteindre les performances que nous souhaitons, et ce dans plusieurs domaines.

  • Une zone de confort pour chaque sphère de votre vie

Eh oui, malheureusement, il n’y a pas que dans la séduction que notre zone de confort nous empêche d’avancer, de réaliser les actions que l’on souhaite et d’être plus performant.

Elle peut nous handicaper dans notre vie professionnelle, en nous empêchant d’aller négocier une augmentation, de nouvelles responsabilités, ou tout simplement de quitter un job qui ne nous épanoui pas par peur de nous retrouver à la rue.
Dans notre vie familiale, notre zone de confort pourra nous empêcher de régler certains conflits de peur de ne faire qu’empirer les choses, ou tout bêtement de dire à notre entourage ce que l’on ressent vraiment.
Dans le sport, et les domaines de la santé et du bien-être, notre zone de confort peu nous limiter dans nos performances et le dépassement de nous-mêmes. Il est bien plus simple de continuer à manger plutôt que d’entamer un régime, ou de rester devant la télé au lieu d’aller faire un footing.
Et bien sûr, dans nos relations sentimentales et dans la séduction, notre zone de confort sera bien souvent notre pire ennemi, nous empêchant de faire les efforts nécessaires . Mais la zone de confort n’est pas la seule chose à prendre en compte si l’on souhaite faire bouger les chose…

  • la zone de limite

La zone dite de « limite » est la zone qui se situe au bout de notre zone de confort, et comprend toutes les actions que nous n’osons pas faire pour X raisons, mais dont nous avons conscience et que nous savons néanmoins réalisables.

Cette zone de limite, c’est la frontière entre nos peurs et notre capacité à nous surpasser. Plus cette zone de limite sera repoussée, plus large sera notre zone de confort, donc plus nombreuses seront les actions que nous serons capables de réaliser sont aucun blocage

C’est sur cette zone qu’il faut travailler pour arriver à se surpasser et à être plus performant, à aller au delà de ses peurs pour réaliser plus de choses, mais nous y reviendrons plus tard.

  • D’où vient notre zone de confort …

Il y a principalement deux origines à l’établissement notre zone de confort  : l’expérimentation et l’environnement.

L’expérimentation, c’est tout ce que nous avons pu vivre par le passé et qui nous a forgé une certaine opinion , ou tout ce dont nous avons pu être témoin. Par exemple, on a pu voir un ami se faire « gentiment » éconduire par une fille lorsque nous étions plus jeune, et cela nous bloque aujourd’hui avec les femmes.

L’environnement, c’est ce que l’on appelle aussi le conditionnement social, ce sont toutes ces normes culturelles (plus ou moins justifiées…) que l’on a pu nous inculquer depuis notre plus jeune âge à travers notre éducation (parental et scolaire), ainsi qu’à travers un autre élément majeur qui sont les médias : la télé, et particulièrement le cinéma (Américain) qui regorge de cliché concernant la séduction, les relations etc.

Pensez à Walt Disney et au millions de filles à travers le monde qui ont été formatées au concept de l’amour parfait, idéal, fidèle et éternel…

Nos convictions sont le reflet de ce que nous avons ingurgité depuis des années, et qui nous conforte dans notre inaction face à la performance et à l’atteinte de nouveaux objectifs et pourquoi elle nous bloque.

Notre zone de confort est en fait constituée d’ un ensemble de convictions, d’idées reçues, qui nous empêchent d’avoir le succès que l’on espère dans nos relations et dans la séduction. On appelle cela des croyances limitantes, car elles nous inhibent dans nos actions et nos décisions. En matière de séduction, elles portent généralement sur à 3 domaines :

Croyances limitantes à propos de soi

  • Je suis trop petit/gros/moche/etc…
  • Je suis pas assez riche
  • J’ai un métier inintéressant, je suis au chômage, je vis chez mes parents…
  • Etc…

Croyances limitantes à propos des femmes

  • Les femmes n’aiment pas le sexe
  • Les femmes n’aiment pas être abordées, draguées, séduites.
  • Les plus jolies femmes sont les plus dures à séduire, elles sont hautaines et inabordables.
  • Les filles aiment les bad boys.
  • Cette fille me plaît mais je ne suis pas son genre…

Croyances limitantes à propos des rencontres, des relations, de la séduction

  • La séduction est un don inné et ne s’apprend pas
  • Si une fille me rejette, toutes es autres me rejetteront par la suite
  • Il faut être gentil avec une fille et tout faire pour lui faire plaisir si l’on souhaite la séduire
  • En étant d’abord ami avec la fille, je me rapprocherai d’elle et je pourrai finir par la séduire 

Je plaisantais un peu plus haut en disant que la taille compte, et bien voilà une autre croyance limitante qui nous a été inculquée culturellement, notamment par la pornographie :

« je ne peux pas satisfaire une femme si je n’ai pas la b*** de Rocco Siffredi, ou si je ne suis pas capable de faire durer l’acte plus de 4h d’affilées ».

Quand on sait que la taille moyenne d’un pénis en érection, du moins en France, est d’environ 15 cm (donc loin des 25cm de Rocco ! ), et que la durée moyenne de l’acte sexuel, hors préliminaires, est compris en 6 et 10 minutes, on se rend compte du ridicule de nos complexes !

Nos complexes et nos croyances limitantes sont les raisons qui nous maintiennent dans notre zone de confort. Ce sont toujours de bonnes excuses pour ne pas prendre de risques.

Alors, comment procéder pour ne plus se laisser restreindre par sa zone de confort ?

  • Elargir sa zone de confort plutôt que d’en sortir

Sortir de sa zone de confort, c’est passer d’un état comportemental donné à son extrême opposé, sans aucune transition, de manière brutale. Et les changements de comportements brutaux ne sont jamais les plus efficaces, du moins sur le long terme.

Il est donc préférable d’élargir sa zone de confort plutôt que de chercher à tous prix à en sortir de manière forcée et brutale. Cet article n’est pas tout à terminé, merci de votre compréhension !! La suite arrivera très bientôt, n’hésitez pas à me laisser un commentaire pour me dire ce que vous en pensez !

 

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Oscar Wilde était-il un un grand séducteur ? Ses meilleures citations.

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Oscar Wilde était-il un un grand séducteur ?

Ses meilleures citations.

A la lecture de quelques uns de ses ouvrages, et de beaucoup de ses citations, il apparaît évident qu’Oscar Wilde possédait des qualités, une philosophie et un train de vie qui faisait de lui un homme digne des plus grands séducteurs de son temps. 
C’était un dandy hédoniste, adepte de tous les plaisirs possibles et imaginables…

Je vous ai fait une petite sélection de quelques unes de ses citations qui collent le plus à l’état d’esprit et à la philosophie qu’il faut adopter lorsque l’on veut avoir plus de succès auprès des femmes :

  • «La seule façon de se conduire avec une femme est de la courtiser, 
    Si elle est jolie, et d’en courtiser une autre, si elle ne l’est pas.»
  • «L’égoïste n’est pas celui qui vit comme il lui plaît, c’est celui qui demande aux autres de vivre comme il lui plaît ; l’altruiste est celui qui laisse les autres vivre leur vie, sans intervenir.»
  • «On devrait toujours faire ce à quoi une femme ne s’attend pas, et de la même manière, on devrait lui dire ce qu’elle ne comprend pas ; c’est la seule façon de parvenir à un accord parfait.»
  • «La sagesse, c’est d’avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu’on les poursuit.»
  • « Je peux résister à tout, sauf à la tentation »
  • «L’homme est tout ce qu’on voudra, mais non pas raisonnable.»
  • «L’égoïste n’est pas celui qui vit comme il lui plaît, c’est celui qui demande aux autres de vivre comme il lui plaît ; l’altruiste est celui qui laisse les autres vivre leur vie, sans intervenir.»
  • «Ce qu’un homme possède réellement est ce qui est en lui. Ce qui lui est extérieur ne devrait pas avoir la moindre importance.»
  • «L’égotisme ne manque pas d’attraits, même dans la vie réelle. Lorsque les gens nous parlent des autres, ils sont habituellement ennuyeux.»
  • «De nos jours, la plupart des gens meurent d’une espèce de bon sens rampant et découvrent trop tard qu’il n’y a que les erreurs qu’on ne regrette jamais.»
  • «L’amour de soi est une idylle qui ne finit jamais.»
  • «Il n’y a que les gens superficiels qui se connaissent.»
  • «Ceux qui sont infidèles connaissent les plaisirs de l’amour ; ceux qui sont fidèles en connaissent les tragédies.»
  • «Seul l’amour peut garder quelqu’un vivant.»
  • «Vivre est ce qu’il y a de plus beau au monde, la plupart de gens se contentent d’exister, c’est tout.»
  • «On devrait toujours être légèrement improbable.»
  • «Je suis toujours en train de m’étonner moi-même. C’est la seule chose qui rende la vie digne d’être vécue.»
  • «Il ne faut regarder ni les choses, ni les personnes. Il ne faut regarder que dans les miroirs, car les miroirs ne nous montrent que des masques.»
  • «La logique est le dernier refuge des gens sans imagination.»
  • «Les femmes ont beaucoup plus de chance que les hommes sur cette terre, beaucoup plus de choses leur sont interdites.»
  • «S’aimer soi-même est le début d’une histoire d’amour qui durera toute une vie.»
  • «J’adore les plaisirs tout simples ; ils constituent le dernier refuge des êtres complexes.»
  • «Vivre est la chose la plus rare. La plupart des gens se contente d’exister.»
  • «Il est deux choses des plus émouvantes dans la vie : la laideur qui se sait, et la beauté qui s’ignore.»

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Que faire si elle vous dit qu’elle a un copain ?

Que faire si elle vous dit qu’elle a un copain ?

Comment réagir lorsque la fille que vous draguez vous répond qu’elle a un copain ? Que répondre ? Est-ce que c’est du lard ou du cochon ? Ou les deux ?!

Suivant les cas de figure, il y a plusieurs procédures à suivre. Et suivant votre éthique aussi…

Disclaimer : Avant tout, clarifions les choses : lorsqu’une fille vous dit un NON franc et massif, à la fois avec ses mots et avec son corps, qu’elle qu’en soit la raison, alors n’insistez pas ! En aucune manière.

Être persévérant est une qualité, être insistant est un défaut, qui peut dériver vers des extrémités répréhensibles par la loi telles que harcèlement moral, sexuel et même le viol. Faites moi plaisir, restez très éloignés de tout ça.

Cela étant dit, voyons quand même comment réagir, car une fille casée, ou qui dit l’être, n’est pas toujours inaccessible 


  • Vous venez de l’aborder (dans un bar, dans la rue, dans un magasin…)

Si vous venez de l’aborder de manière directe, c’est à dire en lui signifiant directement votre intérêt, alors c’est normal qu’elle vous sorte ça, c’est la réponse par défaut des filles pour éloigner/décourager les mecs, que ce soit vrai ou faux. Par expérience, je peux vous assurer que ce n’est pas toujours justifié, et quand bien même ça l’est, ça n’empêche pas certaines filles de pousser le jeu un peu plus loin.

Donc dans un premier temps, n’accordez pas d’importance à la remarque et continuez à parler comme si de rien n’était. D’une manière générale lorsque vous abordez une femme, ne lui demandez jamais si elle à un homme dans sa vie. Cela indique clairement et directement vos intentions dès le début, et c’est également un signe de manque d’assurance. Si c’est la cas et qu’elle veut que vous le sachiez, elle le mentionnera bien assez tôt.

Vous pouvez même utiliser l’humour pour désamorcer le « problème ». Voici une petite blague que j’utilise souvent quand j’aborde des filles dans la rue.

Elle : Désolée, mais j’ai déjà un copain !
Vous : Ah ok… Il est plus mignon que moi ?
Elle : oui ! (elle vous dira toujours oui de toute façon…)
Vous : Et il est plus costaud que moi ?
(Il y a de fortes chances qu’elle vous dise encore oui, même si c’est faux ! Et si elle dit « non », continuez en disant « ah ben c’est bon, on peut discuter sans craintes alors ! » et continuez à parler)
Elle : oui !
Vous : C’est pas grave, je suis sûr que je cours plus vite que lui de toute façon ! =)

Et continuez à parler comme si de rien n’était. Si vous l’avez dit en souriant et avec assurance, ça devrait la faire rire, et cela facilitera le reste de la conversation.

Je vous montre exactement comment faire dans mes programmes de coaching. Si vous ne vous êtes pas encore penché sur la question, je vous recommande de le faire au plus vite !

  • Vous la connaissez déjà un peu

Si vous avez fait sa connaissance récemment, qu’elle vous dit qu’elle a un copain et qu’elle commence à parler de lui, d’eux, des éventuels problèmes de couples, alors coupez court à la discussion et changez rapidement de sujet de conversation. Vous n’êtes pas là pour tenir le rôle de sa meilleure amie ou de son meilleur pote à qui elle raconte toutes ses petites misères. Si vous laissez cette situation s’installer, vous vous retrouverez rapidement catalogué dans la case « ami » et il sera très dur d’en ressortir.
Ne tombez pas dans le piège de vouloir être d’abord ami avec elle pour pouvoir la séduire ensuite, cela ne marche pas ! Vous êtes là pour la séduire, pas pour servir d’éponge émotionnelle.
Sexualisez l’interaction, flirtez avec elle, établissez un contact physique rapidement et progressivement, créez et maintenez de l’attraction, pas de l’affection.

  • Vous flirtez déjà ouvertement lorsqu’elle vous dit qu’elle a un copain.

Que faire quand elle dit qu’elle a un copain ?

Tout d’abord, sachez qu’une fille qui vous dit qu’elle a un copain n’est pas forcément une fille qui ne veut pas allez plus loin avec vous. Il arrive souvent que ce soit pour elle une manière de se déculpabiliser de tromper son copain alors qu’elle en a envie. En gros, elle l’a dit, elle vous a prévenu, la responsabilité est donc partagée, et sa conscience est soulagée.

Si elle vous dit qu’elle a un copain mais qu’elle continue  à flirter, alors n’y accordez aucune importance et continuez comme si elle ne vous avait rien dit. Le fait de relever  qu’elle ait un copain et d’en parler rendra le problème conscient, et pourra la faire culpabiliser inutilement, ou l’amener à croire que vous avez un problème avec cela. D’ailleurs, si VOUS avez un problème avec ça, alors ELLE AUSSI en aura un.

Vous devez lui montrer (et ce doit être véritablement le cas) que vous ne la jugez en aucun cas là-dessus, et qu’il n’y a aucun risque que ce qu’il s’est passé entre vous ne soit dévoilé. Il est extrêmement important que la fille soit en confiance la plus totale avec vous.

  • Autre cas de figure : ses émotions lui disent de tromper son copain, sa raison l’en empêche.

Ou dit autrement : c’est un sacré foutoir dans sa tête, et vous en êtes responsable, que vous le vouliez ou non !
Les émotions des filles sont un moteur très puissant, elles ne fonctionnent quasiment que comme ça. Lorsqu’elles font du shopping et qu’elles dépensent plus qu’elles ne gagnent, c’est exactement ce qu’il se passe : leurs émotions  prennent le pas sur le côté rationnel, et elles font des folies. On ferait d’ailleurs bien de s’en inspirer quelques fois ! (pas de faire du shopping, mais de se laisser guider par nos émotions !)

Parfois, les filles sont très bien en couple et ne s’attendent pas à faire une rencontre, votre rencontre, qui va les amener à se questionner sur leur relation, et à être tentée par une aventure extra-conjugale. Leurs émotions prennent (facilement) le dessus, et  là, c’est le drame, j’ai dans le passé couché avec des filles en couple, je n’en suis pas très fière.

Si vous voyez que la fille met en danger sa relation (à la fois sentimentalement, mais aussi matériellement et techniquement), qu’elle culpabilise énormément mais qu’elle est très tentée, alors prenez garde : vous risquez de (l’amener à) faire quelque chose qui va probablement mettre un gros b…asard dans sa petite vie.

Faites en sorte de mesurer l’impact négatif que cela pourrait avoir (à la fois dans sa vie, et pour votre conscience) par rapport au plaisir que vous pourrez retirer de ce que vous ferez avec elle.
Si vous êtes éperdument amoureux et que vous envisagez quelque chose de sérieux avec elle, alors peut-être que le malheur de son copain actuel fera votre bonheur, et dans ce cas là vous agissez quelque part pour le bien.

Si vous n’envisagez rien d’autre que de coucher avec cette fille, alors réfléchissez bien et agissez en votre âme et conscience. Si je peux vous donner un conseil : éviter d’aller foutre le bordel dans la vie d’une fille pour un simple plaisir sexuel plus égoïste qu’autre chose. Il y a tellement d’autres filles à rencontrer qu’il est inutile d’aller risquer de ruiner sa relation et chambouler son monde juste pour une histoire de fesses.

Après, vous êtes seuls responsables de ce votre conscience et de votre éthique, mais agissez avec intelligence !

Et pour finir, il y a les femmes qui coucheront avec vous sans jamais vous dire qu’elles ont quelqu’un, celles qui vous le diront mais qui vivront très bien et apprécieront l’adultère et celles qui sont en couple et qui n’ont aucune envie d’aller voir ailleurs.
Quelque soit le cas de figure, faites les choses avec intelligence et respect pour la femme qui est face à vous.

Ne soyez pas égoïste, le plaisir est multipliez lorsqu’il est partagé.

 

vidéo de drague, drague de rue
Faut il être un bad-boy pour séduire ?

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Celui que toutes les femmes veulent secrètement, celui dont les « bons gars » sont super jaloux, celui qu’on traite de « trou de cul » ou de «connard» par envie, le séducteur ultime, et ce, toutes époques confondues :

le « bad boy ». Et non, être un « bad boy » ne se résume pas à rouler en moto et à avoir des tatouages.

Je vais vous expliquer dans cet article ce qu’un bad boy pourquoi les femmes en raffolent et si il faut devenir un boy pour plaire et séduire les femmes.

Le bad boy

Être un bad boy, un mauvais garçon, c’est d’abord et avant tout un état d’esprit, une façon d’être. Vous n’avez pas besoin d’avoir une grosse barbe frisée et un manteau de cuir pour être l’objet des fantasmes de ces dames; il vous suffit simplement de comprendre qui vous êtes et ce que vous voulez, puis de l’assumer au maximum, constamment.

J’aimerai mettre en évidence un phénomène intéressant et intriguant en matière de séduction : les « bad boys » et leur apparent succès auprès de la gente féminine.
Qu’en est-il ? Leur succès est-il légitime et justifié ? Faut-il devenir un « bad boy » pour plaire aux femmes ? Quels sont leurs qualités et leurs défauts ? Autant de bonnes questions qui méritent de bonnes réponses.

Voici un extrait d’un livre intitulé Bad Boys: Why We Love Them, How to Live with Them and When to Leave Them, de Carole Lieberman et Lisa Collier, paru en 1998.

« …What is a bad boy? He’s a rebel without a cause, a cool dude in a motorcycle jacket, a real-life Huckleberry Finn who wants to take you on a wild river ride to adventure. He’s wounded, moody, misunderstood-a dreamer, a seducer, a daredevil.

He is a man of mystery and a fascinating paradox. He’s both a lost little boy and a man with a dark side. He breaks your heart with his wicked ways, but whether he’s a wanton wolf or a dangerous desperado, he makes you long to rescue him from his pain. He’s hurtful cruel, or simply careless and self-absorbed, but you can’t resist jumping on his motorcycle and roaring off into the steamy night with him. And once you’ve given him your heart forever… he’s gone with the wind!

He is someone who sets off throbbing sexual and aggressive passions within you. Because he’s aloof and elusive, you get caught up in the challenge and excitement of the chase-though he’s not always someone you’d really want even if you did capture him. A bad boy may tell you he’s generally right.
He’s a frog you hope to turn into a fairy-tale prince with the magic of your kiss… »

Pour ceux qui auraient des difficultés avec la langue de Shakespeare, voici l’extrait traduit par mes soins.

Qu’est-ce qu’un bad boy ?

C’est un rebel sans cause, un type « cool » vêtu d’un blouson de motard, un Huckleberry Finn des temps modernes qui veut vous embarquer avec lui pour de folles aventures.

C’est un homme blessé, lunatique, incompris – un rêveur, un séducteur, un trompe-la-mort. Il est un mystère et un paradoxe fascinant, à la fois un petit garçon égaré et un homme avec un côté noir qui vous brise les cœur par ses sales manières. Mais qu’il soit un loup sauvage ou un dangereux hors-la-loi, vous n’avez qu’une envie : le soulager de ses maux. Il est blessant, cruel, ou tout simplement indifférent et égoîste ; mais vous ne pouvez résister à la tentation d’enfourcher sa moto et de filer avec lui dans la torpeur de la nuit. Et lorsque vous lui avez enfin donné votre cœur pour toujours, il a disparu à jamais.

Il est l’homme qui libère en vous les pulsions d’un désir sexuel agressif et vibrant. Parce qu’il est distant et insaisissable, vous ne pouvez renoncer au défi de lui courir après, bien qu’ il ne soit pas forcément l’homme qui vous convienne quand bien même vous l’attraperiez. Un bad boy vous dira qu’il agit généralement en bien.
Il est le crapaud que vous espérez transformer en prince charmant par la magie de votre baiser… »


Malheureusement, la traduction Française n’est pas aussi puissante que la version originale, et l’on perd un peu de l’intensité que permet le vocabulaire Anglais. 

Que nous dévoile ce passage ? L’auteur nous parle ici principalement d’émotions, qui ne peuvent malheureusement être que partiellement traduites par des mots. Pour saisir toute l’ampleur de ce qu’il peut être ressenti, il faut faire travailler son imagination. Imaginez ce qu’elle peut ressentir lorsqu’elle nous dit qu’un « bad boy » déclenche chez une femme « un désir sexuel agressif et vibrant« …

Elle ne dit pas « il essaie de vous convaincre de ressentir de l’attirance pour lui », ou encore « il vous invite au restaurant, fait tout pour vous, vous complimente et vous offre des cadeaux jusqu’à ce que vous l’appréciez ».

Il ici est question d’un homme qui, par ses manières d’agir, libère « un désir sexuel agressif et vibrant », non pas parce qu’il est grand, beau, célèbre, riche ou musclé, mais parce qu’il se distingue des autres hommes en ce qu’il communique d’une manière différente avec les femmes. Et c’est justement cette manière de communiquer, et tout ce qu’elle véhicule, qui le rend si attirant et magnétique.

 Vous vous êtes tous déjà dit au moins une fois à propos d’une fille « mais qu’est-ce qu’elle fout avec un type pareil ?! Il ne la respecte pas, il lui fait du mal, il ne la mérite pas ! En plus il est même pas beau !

Pourquoi est-ce qu’elle ne s’intéresse pas plutôt à un mec comme moi ? Je suis gentil, attentionné, je ne lui veut que du bien… C’est injuste ! »

Il ne fait aucun doute que les femmes sont attirées par les « bad boys », nous avons tous des exemples de cela. Mais malheureusement, les bad boys ont aussi bien souvent un côté sombre : il sont abusifs, blessants, égoïstes, parfois même violents.

Je suis intimement convaincu qu’il est possible de prendre ce que font ces « bad boys » pour déclencher ce formidable flot d’émotions qu’ils arrivent à faire ressentir aux femmes, sans en prendre les côtés abusifs et sombres qui les desservent. Ce qui plaît, ce n’est pas le fait qu’ils soient méchants, irrespectueux ou égoïstes, mais ce sont les autres qualités et caractéristiques qu’ils possèdent.

Quelles sont les caractéristiques qui composent leur personnalité et qui les rendent séduisants ?

D’après l’extrait, les « bad boys » sont aventuriers, « cools », imprévisibles, mystérieux, fascinants, touchants, indifférents, égoïstes, insaisissables… Je n’ai pris ici que les traits les moins « négatifs » de leur personnalité. 
Notez comme ces caractéristiques renvoient à des émotions, des sentiments, contrairement à des caractéristiques comme riches, beau, musclés, célèbres, qui renvoient elles à des états de fait pragmatiques et rationnels.

Si vous vous souvenez de mon article sur la courbe émotionnelle, vous comprendrez aisément pourquoi les « bad boys » peuvent être si attirants pour les femmes : les émotions qu’ils arrivent à communiquer ne sont pas seulement puissantes, elles sont aussi variées et imprévisibles.

Ce sont des émotions qui sont universelles et intemporelles, et qui ont été décrites au fil des temps par de nombreuses femmes et/ou artistes. 

Picture

 

Je vous conseil de regarder le film A Streetcar Named Desire d’Elia Kazan, avec Marlon Brando et Vivien Leigh. 

Stanley, le personnage que joue Brando, incarne exactement l’archétype du « bad boy » : dominateur, macho, violent, mais à la fois intense, magnétique, charismatique et sexy (demandez donc à vos grand-mère ce qu’incarnait Marlon Brando à l’époque…) Voici un petit extrait, mais je vous invite sérieusement à voir le film en entier. 

Les « bad boys » sont donc à la fois une source d’inspiration positive et négative : il faut copier, imiter et s’approprier les qualités qui leurs donnent leur magnétisme (insaisissables, indépendants, aventuriers, sexués, touchants, mystérieux, etc…) tout en rejetant les caractéristiques « négatives » qu’ils possèdent (abusifs, violent, irrespectueux, etc).

 

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Embrasser c’est ce qu’il se fait quand deux personnes se plaisent, c’est en quelque sorte une étape de validation pour se dire oui tu me plais. Tu veux peut être savoir comment on embrasse une fille, comment positionner les lèvres quand on embrasse et plein d’autres question qui te passe par la tête à ce sujet et c’est normal.

 Une des questions qui revient le plus fréquemment lors de mes coaching, mais également chez tous les hommes qui se posent quelques questions sur la séduction, est la suivante :

 à quel moment embrasser une femme ? 

Question à laquelle je répond par : « à partir du moment l’idée de l’embrasser vous traverse l’esprit, c’est qu’il est généralement temps de l’embrasser« . 

Plus concrètement, le bon moment pour embrasser une femme n’arrive pas tout seul comme par enchantement, c’est à vous de le construire ! Gardez cependant bien à l’esprit que vous ne pouvez pas embrasser une femme sans avoir au préalable créé un contact physique progressif avec elle. 

Le baiser n’est qu’une des étapes de cette progression physique, dont l’aboutissement est le sexe, et qu’il est indispensable de créer des les premières minutes de l’interaction ! 

La question qui se pose alors est 

« comment savoir si une femme est prête, ou à envie, d’être embrassée ? » 

 Comme on l’a dit plus haut, le moment opportun d’embrasser une femme intervient à un certain moment de la progression physique de l’interaction. Après avoir franchi le cap du toucher « social » puis « amical », vous êtes normalement dans la phase du toucher dite « intime » ou « sensuel », c’est-à-dire que vous pouvez sans gêne toucher des parties de corps telles que le bas du dos, les hanches, les flancs, et principalement le cou, les cheveux et le visage d’une manière relativement sensuelle et douce.

Passez votre main dans ses cheveux, ou caressez doucement son visage : si elle ne montre aucune gêne ni résistance, vous pouvez alors l’embrasser sans craintes

Un autre moyen de le savoir se situe également dans son regard. Toujours dans cette phase de toucher « intime », si lorsque vous discutez vous remarquez qu’elle plonge intensément ses yeux dans les votre, et regarde également votre bouche et vos lèvres, alors c’est un indicateur puissant (vous en apprendrez plus sur les indicateurs d’intérêt dans cet article). Baissez le rythme et le volume de la conversation, et approchez vous doucement de sa bouche pour l’embrasser. 

Vous pouvez aussi provoquer vous-même cet indicateur, ce « moment » où vous réalisez tous les deux que vous avez envie de vous embrasser.

Cela s’appelle le « regard triangulaire » (« triangular gaze » in english) et fonctionne comme ceci : alors que vous discutez, baissez le rythme de votre discours, et tout en continuant à parler, regardez-la alternativement dans un oeil, puis dans l’autre, puis sa bouche, et ainsi de suite. Votre regard parcourant alors un triangle entre ses deux yeux et sa bouche. Regardez sa bouche et ses lèvres quand elle vous parle, avant de replonger votre regard dans le sien. 


Si la progression physique a été bonne (vous êtes mutuellement à l’aise avec le contact physique de l’un et l’autre), et que vous adaptez correctement le rythme de l’interaction, alors cela se passera sans accroc.

Il s’agit essentiellement d’une question de circonstances et de contexte. Si tous les éléments sont réunis – connexion émotionnelle, physique et logistique appropriées (vous vous êtes éloignés de son groupe d’amis et êtes maintenant seul avec elle) – alors il sera facile, et opportun, de l’embrasser. En revanche, si vous ne profitez pas de cet instant, il se peut que’il ne se représente que bien plus tard, ou même qu’il ne se représente pas ! Alors saisissez-le !

Autre précision importante :

Ne demandez jamais l’autorisation pour l’embrasser ! et n’en verbalisez pas non plus l’envie ! 

Les femmes aiment que cela se passe de manière « naturelle ». Même si vous avez réfléchi et provoqué le moment ou vous vous êtes embrassés, ne le brisez pas en explicitant et en rationalisant ce qu’il vient d’arriver. 

Comment réagir si elle refuse d’être embrassée ?


Si jamais elle tourne la tête ou refuse d’être embrassée, n’insistez pas et ne vous montrez pas affecté ni vexé. Souriez et continuez à parler avec elle sans relever quoi que ce soit. 

Attachez-vous à renforcer le contact physique avec elle avant de tenter à nouveau de l’embrasser. Son refus indique probablement que vous ne vous y êtes pas pris au bon moment, ou que la connexion (émotionnelle et physique) entre vous n’était pas suffisante. Et croyez-moi, cela arrive aux meilleurs d’entre nous de se planter de temps à autres 😉

Le tout est de prendre le refus avec détachement, et de surtout comprendre « pourquoi » ça n’a pas marché. Pour éviter de refaire l’erreur une prochaine fois !

Avec l’habitude et la pratique, vous développerez une sorte d’intuition qui vous permettra de « sentir » précisément lorsque le bon moment est arrivé pour l’embrasser. En aucun cas, vous ne pouvez tenter d’embrasser une femme sans avoir préalablement créé aucun contact physique progressif avec elle.

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