Détester les femmes

Wikipedia dis apporter une définition intéressante, la mysoginie 

Au contact des femmes, notre ressenti peut changer du tout en tout en l’espace d’une fraction de seconde. Par exemple, tu abordes une femme qui te plais et pour une raison inconnue, elle t’ignore ou t’envoie chier de la manière la plus détestable qui soit. Tu es un homme frustré sur le moment et plus !
Juste avant sa réaction, tu avais un énorme sourire et quelques secondes plus tard, une sérieuse envie de la foudroyer sur place, elle, ainsi que tout le sexe opposé.

Il existe de nombreuses autres raisons de détester les femmes et je ne peux parler de celles que je n’ai pas vécues personnellement. Mais à travers cet article, j’espère t’apporter suffisamment de recul pour que tu ne considères plus les femmes comme faisant partie d’une seule et même case : celle des « obstacles » à la réussite de ta vie sentimentale.

Déshumaniser, c’est se couper des joies de la séduction

Détester les femmes, les voir comme un obstacle en face du but que tu souhaites atteindre (sexe, mariage, enfants …) c’est la meilleure manière de déshumaniser, d’aseptiser et d’uniformiser une personne qui se veut unique. Mettre les gens dans le même panier est quelque part une manière de se rassurer et rejetant les autres en masse. Une manière de dire, moi je suis comme ça mais vous, vous êtes tous différents de moi, nous n’appartenons pas à la même case. Je suis dans la bonne case et vous dans la mauvaise.

De ma propre expérience, le rejet entraîne le rejet. C’est une manière pour notre ego masculin de se protéger, d’avoir le dernier mot ! Si tu me rejettes moi Allan alors je te rejettes encore plus fort. Je te rejette toi et toutes les personnes de la même « espèce ». Ce qui pour un homme, dans le cadre de la séduction signifie « toutes les autres filles ».

Faire la part des choses entre expérience et règle générale

Alors comment faire lorsqu’une telle chose arrive, lorsque ta tête est chargée d’émotions négatives ? Sur le moment, ce n’est pas facile. Je mentirais si je te disais qu’il ne m’est jamais arrivé de penser un bon gros « Salope ! » après m’être mangé un râteau cinglant. Je ne suis pas grossier AVEC la personne car ça ne sert à rien. Mais je m’autorise à être grossier avec moi-même pour faire baisser la pression de ma cocotte minute. C’est mon exutoire « interne », ça ne fait mal à personne. Et dans ce cas là, une fois ce trop plein d’émotions évacué, je dissocie l’expérience négative de la personne elle-même.

Qui n’a jamais eu une mauvaise journée après tout ? Ou un mal de tête qui fait que l’on veut juste rentrer chez nous et aller dormir ? Cette fille avait peut être ses raisons de ne pas être disposée à dire juste « Non merci je ne suis pas intéressée ».

Un autre point de vue

Accepte le fait que deux personnes ne sont peut être pas faites pour être ensemble et accueille cette nouvelle avec le sourire. Tu n’a mis que quelques secondes pour savoir que cette personne n’est pas faite pour toi. A défaut de trouver une personne avec qui tu sais que tu voudras passer du temps … tu as trouvé une personne avec qui tu sais que tu ne voudras pas passer du temps.

Prends sur toi, interdit toi de stocker les arrières pensées négatives et ne fais plus de généralités. Ne cherche pas à être parfait tout le temps, n’essaye pas de justifier tes ratés. Ce n’est juste qu’une expérience. Parfois tout roule, parfois tout merde, parfois le résultat est mitigé.

Pour conclure, prend conscience de ton comportement à travers le comportement des autres. Quand quelque chose t’énerve chez quelqu’un, quand les gens en général t’agacent pour une raison particulière … Sache que tu as bien souvent le même défaut mais tu refuses de le voir. Il est plus facile de voir la paille dans l’œil du voisin que la poutre dans le sien. Un exemple ? Rien ne m’énerve plus que les gens en retard … et pourtant, en faisant l’effort de noter pendant une semaine l’heure d’arrivée à tous mes rendez-vous, je constate que je suis moi même assez peu à l’heure … avant cet exercice, j’étais convaincu d’être quelqu’un de très ponctuel !

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Séduire une femme : Jeu contre Enjeux

Dans cet article, j’aimerais vous parler d’un élément central dans le rapport que j’ai eu face à la séduction. Si je vous dis central, c’est qu’il conditionne vraiment comment l’on considère ce que l’on appelle : la séduction. Le thème dont j’aimerais parler avec vous, c’est la perception du rapport à la séduction en tant qu’enjeux ou en tant que jeu.

La séduction, ce qu’en dit la communauté

Souvent, lorsque l’on se lance dans ce monde de la séduction ou dans celui du développement personnel, c’est qu’il y a des éléments de notre vie qui ne vont pas, ou qui ne nous satisfont pas.
Ayant été dans ce cas en séduction, j’ai été progressivement amené à me documenter sur internet pour trouver des réponses à mes questions.

En voici à titre d’exemples :
– Comment initier un contact physique de proximité avec une fille sans que ça fasse pervers ? (c’était l’origine de ma découverte)
– Comment savoir qu’une fille est intéressée ?
– Comment trouver le bon moment et la bonne façon pour conclure ?

J’ai donc découvert cette fameuse communauté qui porte le nom de « Pick Up Artists » (Artistes de la drague) et dans laquelle la séduction était devenue un véritable sujet de discussion, de réflexion, de polémique, mais aussi, au final, d’enjeux et de combat d’ego.

J’ai appris (ou du moins désappris) de nombreuses choses, et cela m’a fait comprendre, après un bon moment de réflexion, que ce dont je manquais le plus, c’était d’audace.

Le problème en revanche, de ce qui tourne dans cette communauté à mon gout, c’est que certaines personnes qui cherchaient comment simplifier leur vie au niveau sentimental, finissaient par déprimer d’avantage après visionnage qu’avant de ces ressources. Certains termes pouvaient même faire peur comme celui « d’AFC » qui signifie : « Mec frustré de base ». Ce terme reflète le niveau d’un mec, qui n’y connait rien et qui a une très faible estime de lui-même. Mais d’après-vous, comment un mec ayant une faible estime de lui, réagirait après avoir vu qu’il est se situe au niveau 0 voire -1 ? Je doute personnellement, qu’il ait subitement l’envie de se dépasser, vu qu’à ce jour, il a encore un ego fragile.

J’ai eu de la chance et de la volonté ! Avec ma persévérance et le fait de pratiquer ou de parler avec d’autres personnes qui s’intéressant au même sujet, j’ai pu me rendre compte de mon vrai niveau et du travail que j’avais à réaliser. J’ai donc pu rebrancher sur le développement personnel et arriver finalement à un « niveau » satisfaisant séduction, à mon gout.

Mon changement de perception

Après cette phase théorique sur le sujet, j’ai finis par m’y mettre et découvrir en parallèle de nouvelles ressources, beaucoup plus motivantes où il était plus question de jeu, d’amusement que de techniques, d’enjeux et de pressions mentales.

Au début, j’ai été boosté par ce côté jeu de la séduction. Je m’amusais bien à taper un brin de discute avec des personnes que je ne connaissais pas. Je prenais plaisir à séduire lorsque j’en avais l’occasion. Mais je ne m’imposais pas de résultats.

A l’époque, je n’avais pas de grands résultats car je m’éclipsais rapidement, et j’avais peur d’aller loin. Cependant, plus je prenais conscience que je me bloquais tout seul, plus je me rapprochais du but.

Et finalement, à mes premiers résultats, c’est là que j’ai recommencé à chavirer du mauvais côté. Je commençais à quantifier ce que je réalisais. J’avais peur de régresser et de ne plus obtenir des résultats similaires. Je commençais à retomber dans l’enjeu et à perdre la notion de spontanéité et de plaisir.

Je cherchais absolument à avoir des résultats me prouvant que je faisais ce qu’il fallait vis-à-vis de ce que je lisais à droite et à gauche. Ensuite, étant dans un milieu très théoricien (celui de l’informatique et des mathématiques), je cherchais désespérément un modèle pour quantifier ma progression, comme par exemple : Nombre de numéros pris, Étapes franchies etc. Je cherchais un moyen pour me dire : « Ouf, c’est bon, j’ai atteint un niveau suffisant là ! » Par peur de paraitre inférieur en terme résultats face à d’autres personnes et a moi-même, j’avais énormément de mal à accepter des moments où les résultats n’étaient pas là, surtout lorsqu’ils arrivaient auparavant en chaîne.

J’étais rentré à nouveau dans ce que j’avais quitté, à savoir cet esprit de compétition ou de résultat qui m’obnubilais. Le problème, c’est que je voulais être absolument approuvé par d’autres mecs pour pouvoir dire : « J’y arrive donc je ne suis pas un looser ! »

Je me suis aperçu récemment que j’avais trop tendance à chercher l’approbation des autres en agissant de cette façon alors que mon objectif de base, qui était d’être capable de conclure avec une fille qui me plait, avait été réalisé.

Mon véritable objectif dans tout ça

Mon but : « Me prouver que je pouvais conclure avec une fille qui me plais et que je fais ça pour moi et pour reconsolider le pilier relation amoureuse de ma vie ». Au final, je me rends compte qu’il n’est pas toujours facile de trouver des personnes avec qui le feeling passe bien, mais il en existe et lorsque c’est le cas, ça peut enchainer sur de très belles choses.

Le véritable problème de l’enjeu

Si je pouvais tenir un enseignement de ce qui m’est arrivé, et c’est tout l’intérêt de connaitre des échecs dans sa vie, je dirais que j’ai littéralement usé mon énergie pour des choses qui n’en valait strictement pas la peine. Qu’une fille ne s’arrête pas, qu’une fille ne me réponde pas, qu’une fille change subitement d’avis, pourquoi en faire une montagne. Elle a des raisons que j’ignore de toute façon, et puis si ce n’est pas réciproque alors que j’ai été vrai avec elle, autant passer à autre chose.

Je peux me dire « Apparemment, c’est là ou là que ça à cloché, mais je ne peux pas me permettre d’y passer des heures à me torturer ainsi, je dois trancher et aller de l’avant »

J’ai eu tendance à mettre toutes les filles dans le même panier. Du coup, je ne comprenais pas certaines façons d’agir de la part des filles.

La véritable chose que je retiendrais, c’est que pour m’améliorer, je dois accepter de ne pas tout comprendre et je dois continuer à travailler théoriquement en revenant de temps en temps sur certains points, mais je dois surtout continuer à pratiquer en essayant des choses que je n’ai encore jamais tenté (par peur, bien entendu 😉 ).

Pourquoi préférer le jeu

En voyant la séduction comme un jeu au sens de divertissement et de bon temps, cela rend la chose beaucoup plus séduisante et beaucoup moins stressante. Lorsque l’on pense enjeu, on se met la pression du résultat alors que dans le jeu, on tente d’atteindre l’objectif mais on accepte de recommencer la partie pour gagner et prendre plaisir à jouer. Lorsque l’on commence une nouvelle discipline, on a tendance à avoir ce qu’on appelle, la chance du débutant. En fait, au début, on ne cherche pas absolument les résultats et on se laisse aller. Cela procure donc des résultats qui, après une certaine durée, finirons par nous rendre plus sensible à l’enjeu, par habitude. Résultat des courses, préférez-vous mettre dans un état d’esprit de jeu même si vous aurez du mal à accepter de ne pas tout comprendre, mais au moins, vous aurez d’une part, un meilleur état d’esprit, et d’une autre, de meilleurs résultats, aussi paradoxal que ce soit.

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Le 1er rendez-vous parfait (selon Woody Allen)

J’ai récemment vu, dans un film, un Séducteur réaliser quelque chose d’exemplaire – et j’aimerais partager cette leçon et un cadeau avec vous. (Si vous êtes très pressé, vous pourrez trouver le cadeau en cliquant ici – mais je vous recommande de lire l’article en entier)

Un Samedi soir, j’ai fait la queue pendant 3/4 d’heure devant un cinéma d’art et d’essai pour découvrir le nouveau Woody Allen.Si vous me connaissez un peu, vous saurez qu’il n’est pas dans mes habitudes de patienter dans des files d’attentes, de regarder du Woody Allen, d’aller au cinéma un Samedi soir au lieu d’un bar, et de façon générale, d’aller au cinéma tout court.

Mais ce film avait quelque chose de spécial.

super film sur la séduction

Vicky, Cristina, Barcelona (vidéo ci-dessous) illustre parfaitement un point extrêmement important de la Séduction – avant ET après avoir entamé/consommé une relation amoureuse.

Dans le film, Vicky et Cristina sont deux étudiantes américaines en vacances à Barcelone pour l’été. Aussitôt arrivées, elles font la connaissance de Juan Antonio, artiste-peintre torturé tout juste sorti d’un « divorce difficile » (sa femme psychotique a tenté de le tuer avec un rasoir).
Dès leur première rencontre, Juan Antonio les invite toutes les deux à « Partir en weekend à Oviedo, voir du paysage, boire du bon vin, et faire l’amour » (tous les trois).

Ce qui est particulièrement frappant dans ce personnage de Juan Antonio, c’est qu’il possède un trait commun à tous les grands séducteurs : Bien qu’il ne soit ni physiquement beau, ni particulièrement riche, ni célèbre, Juan Antonio est à lui seul une expérience inoubliable.

Si vous allez voir ce film, observez bien toutes les scènes où il apparaît en compagnie d’une jeune femme : à tout moment, l’activité, l’ambiance, le paysage, sont tour à tour saisissants, touchants, intenses, éclatants, exotiques, déconcertants… Jamais ENNUYEUX. Balades en vélo, dégustations de vin, expositions d’art, visite des monuments éblouissants de Gaudi, tout est en apparence laissé au hasard mais tout est parfait.

Face à l’artiste, le fiancé de Vicky, « Doug », est le summum de l’ennui mortel. Pour une femme, malgré toutes les réticences morales qu’elle peut opposer, le petit-ami-ennuyeux-et-son-train-train-quotidien pâlissent très vite face à l’attrait du Séducteur.

Maintenant, un peu d’introspection.
Est-ce que votre vie de Séducteur est réellement passionnante ? Est-ce qu’un premier rendez-vous avec vous est l’événement de l’année pour une femme, ou juste « un bon moment, sans plus » ? (ou carrément une perte de temps ?)

Est-ce que, quand une femme part en rendez-vous avec vous, ses pupilles s’élargissent quand vous lui annoncez le lieu du rendez-vous, ou est-ce qu’elle hausse les épaules en laissant échapper un « Pourquoi pas… » sans conviction ?

Quelques exemples :

• Une jeune femme que j’ai rencontré un soir où je me faisais photographier en boîte de nuit à Lyon (une séance photo totalement improvisée, car je venais d’engager la conversation avec un type qui s’est avéré être photographe professionnel, et m’a proposé de prendre quelques clichés) : notre seconde rencontre a eu lieu au premier rang d’un concert rock où jouait l’un de mes amis.
• Une autre, rencontrée dans une soirée latino : on s’est revus à un concert de salsa en plein air avant d’aller prendre un verre avec les musiciens.
• Une amatrice d’art et d’architecture : emmenée à 3h du matin dans un parc de Paris (il était fermé mais on y est entré de manière un peu illégale) 

Je vous recommande donc, si vous regardez Vicky Cristina Barcelona, et de prêter attention à ce détail.

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Quelles sont vos chances de séduire une femme ?

Quelles sont vos chances de réussir ?

Dans cet article, j’aimerais vous donner des pistes pour avoir l’état d’esprit qui vous permettra d’atteindre vos objectifs.
Si vous appliquez ce conseil, vous aurez dans votre vie la femme de vos rêves, vous serez toujours dynamique et motivé, et vos projets les plus fous vous seront accessibles.

Il y a quelques temps, une jeune femme m’a demandé de la coacher pour un objectif très ambitieux qu’elle s’était fixé.
Et elle m’a posé une question que se posent souvent les apprentis Séducteurs :

« Quelles sont mes chances de réussir ? »

Elle s’attendait sûrement à une réponse issue de mon expérience de coaching. Ou à un pourcentage évalué à partir du taux de réussite de ceux qui entreprennent des projets du même genre.

Je ne lui ai pas répondu, mais j’avais la réponse.
Et si vous vous demandez « quelles sont mes chances de réussir », j’ai aussi la réponse.

La réponse est : zéro pourcent.

Si on exclut le facteur-chance, vos chances de réussir si vous vous posez la question sont de l’ordre de… 0%.

Je vais vous expliquer avec une analogie simple.

Imaginez une grande pièce, assez grande pour contenir cent personnes.
Dans cette pièce, il y a effectivement cent personnes. 99 sont aveugles. Une seule de ces personnes est parfaitement voyante.

Vous me suivez toujours ?
100 personnes, dont une seule qui a ses yeux intacts, tous les autres sont aveugles.

Si on prend une personne au hasard dans cette pièce, et qu’on lui fait passer un test de lecture, quelles sont ses chances de réussir ?

Un pourcent, n’est-ce pas ?
Puisqu’on a 1 chance sur 100 de tomber sur celui qui est capable de réussir.

Et voici pourquoi ce raisonnement est erroné.

Dans la vraie vie, on ne tire pas un type au hasard.
En fait, dans la vraie vie, c’est VOUS, dans cette pièce, avec 99 aveugles.

Quelles sont VOS chances de réussir le test ?
Un pourcent ?
NON !

Puisque vous lisez cet article, je suppose que vos yeux fonctionnent très bien.
Donc si vous passez un bête test de lecture, vous allez le réussir, un point c’est tout !
Même si vous êtes dans une pièce avec 1, 9, 99 ou 999 aveugles.

Votre chance de réussir ne dépend que de VOUS – pas des 99 aveugles qui sont passés avant vous.
Et voici comment cela s’applique en séduction :

Supposons que vous voulez sortir avec la femme de vos rêves.
Pas UNE femme en particulier sur laquelle vous faites une obsession, mais une femme qui réponde à votre liste de critères, qui vous fasse craquer, etc.

Si :

• vous avez décidé que vous ALLEZ Y ARRIVER, de façon NON NEGOCIABLE,
• vous passez massivement à l’action,
• vous agissez intelligemment, vous adaptez votre façon de procéder,
• vous êtes patient, persistant, vous ne baissez pas les bras,

Si vous faites cela, alors vous allez rencontrer cette femme et sortir avec elle.

Et cela marche aussi pour les autres rêves, personnels ou professionnels, que vous voulez réaliser.

Je n’ai jamais entendu parler de qui que ce soit qui ait échoué avec cette méthode.

Les sceptiques diront ceci :

1. « il ne faut pas se voiler la face, certaines choses sont impossibles ! »
2. « Il est impossible de dire avec une telle certitude : vous allez conquérir la femme de vos rêves ! Cela ne dépend pas que de notre volonté ! »
3. « Et si je DECIDE que je vais gagner au Loto ? Ca devrait marcher aussi non ? »

Et voici la réponse à ces 3 objections :

Objection 1.
« il ne faut pas se voiler la face, certaines choses sont impossibles ! »

Beaucoup de choses sont impossibles :

• faire décoller un objet plus lourd que l’air
• aller sur la lune
• courir le 100 mètres en-dessous de 10 secondes

Tout cela a été démontré par des scientifiques à leur époque.
Si vous pensez qu’atteindre votre rêve est impossible, je ne vais pas argumenter contre vous. Henry Ford a dit un jour « si vous pensez que vous pouvez, ou si vous pensez que vous ne pouvez pas… vous avez raison. »

Objection 2.
« Il est impossible de dire avec une telle certitude : vous allez conquérir la femme de vos rêves ! Cela ne dépend pas que de notre volonté ! »

Si je dis « je vais avoir une relation formidable avec une femme exceptionnelle », cela dépend de ma volonté et de rien d’autre.
Cela ne veut pas dire que ça va marcher avec telle femme en particulier. Cela veut dire que si Marianne est déjà mariée, que Françoise part à l’étranger, et que ça ne colle pas avec Thérèse…
Je ne vais pas baisser les bras, je vais continuer à séduire, et finir par sortir avec une femme exceptionnelle.
Marianne, Françoise, et Thérèse peuvent choisir de vivre cette relation avec moi, ou non. Mais elles ne peuvent pas m’en priver.

Objection 3.
« Et si je DECIDE que je vais gagner au Loto ? Ca devrait marcher aussi non ? »

Non. Ca signifie que si vous décidez d’être millionnaire, et que c’est non négociable, vous allez y arriver.
Parce que vous allez agir intelligemment.
Et évidemment pas en jouant au Loto (désolé si c’est votre cas, mais jouer au Loto est la façon la plus stupide qui soit d’essayer de devenir riche).

Et vous, quelles sont vos chances ?

J’aimerais votre avis, laissez un commentaire ci-dessous.
A combien estimez vous vos chances de réussir à rencontrer et séduire une femme qui vous plaît ?

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Ne mettez pas les filles sur un piédestal

Ne mettez pas les filles sur un piédestal.
Lisez BIEN cette phrase. Si vous avez BIEN lu, je n’ai pas écrit DESCENDEZ les filles de leur piédestal. Comprenez-vous la différence ?

Beaucoup de « players » en France considèrent qu’une jolie fille se pense forcément au-dessus d’eux, et que pour casser ce piédestal il faut balancer à la fille un « neg », c’est-à-dire une remarque désobligeante qui montre qu’on n’est ni impressionné, ni intéressé.

En faisant cela vous allez vous compliquer la tache, dans le monde réel ce genre de technique ne marchent pas comme on le voudrait, de plus c’est une technique à utiliser sur de très jolies femmes, comme des manequins, models, actrice, or dans notre quotidien nous sommes confronté à des femmes plutôt normal. 

Laissez-moi vous expliquer en quoi cela peut plomber vos capacités à séduire.

Il faut différencier le monde réel et votre monde imaginaire

Sur le terrain, pendant une interaction avec une fille, il faut que vous soyez capable de distinguer :

• ce qui est REEL et qu’on peut CONSTATER – le niveau d’attention que la fille vous porte, l’a priori que son groupe a sur vous,  leur confort physique par rapport à vous.
• ce qui est purement DANS VOTRE TETE – la soi-disant « valeur » de la fille, votre soi-disant « valeur » à vous, votre « pourcentage de chances de réussir »…

Quand vous rencontrez un obstacle REEL, il faut y apporter des solutions dans le monde REEL.

Si la fille n’a aucun intérêt pour ce que vous racontez, ça se voit : elle ne vous regarde pas quand vous parlez, elle répond en monosyllabes… peut-être devriez vous simplement parler d’AUTRE CHOSE ou bosser un peu sur les attributs de votre personnalité que vous communiquez.

Quand vous rencontrez un obstacle VIRTUEL, la solution est dans votre tête à vous. Si « votre valeur n’est pas assez élevée », c’est parce que vous n’avez pas une assez haute opinion de vous-même. Si on vous plonge dans un milieu social qui vous considère clairement comme un sous-résidu de déchet, et que ça influe sur votre façon de vous comporter, alors votre opinion de vous-même est bien décevante. Vos émotions et votre estime de vous ne doivent PAS être dictées par les personnes avec qui vous interagissez. Sinon, vous allez vous faire bouffer – et ce ne sera pas la faute d’un soi-disant « bitch shield » de la fille, mais bien de votre propre façon flippante d’aborder.

Un conseil pour améliorer vos approches

Avant et pendant vos approches avec des inconnues, souvenez-vous que ce qui est REEL peut être changé en agissant – changer de sujet de conversation, taquiner, hausser la voix, sont des actions.

Souvenez-vous que ce qui est purement imaginaire dépend de vous – et abandonnez cette idée que les gens ont une « valeur ». C’est un concept de geek.

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20% des hommes couchent avec 80% des femmes

Quand j’étais encore en école d’ingénieur il y a quelques années, une loi mathématique parfaitement empirique m’a marqué. Il s’agit du principe de Pareto, une théorie établie par l’économiste Vilfredo Pareto (1848-1923).

Pour en savoir plus sur le principe de Pareto découvre la définition ici

Dans son Cours d’économie politique, Pareto (ex-ingénieur lui aussi) décrit un phénomène troublant de la répartition des richesses : 20% de la population produit et possède 80% des richesses. Ce principe, connu aussi sous le nom de « loi des 80/20 » ou de « distribution de Pareto », s’applique dans beaucoup d’autres aspects subjectifs de notre vie quotidienne.

20% des hommes couchent avec 80% des femmes

La distribution de Pareto m’est revenue à l’esprit en observant les comportements des danseurs et des non-danseurs au cours d’une soirée dans un bar latino. Il y avait, comme à l’accoutumée, des filles partout – ce qui était d’ailleurs une des raisons de ma présence, évidemment.

Mais au sein de cette agitation, un schéma revient toujours dans ce genre d’endroit. Supprimez les cuivres assourdissants de la salsa ou du merengue, et vous retrouvez le même casting que dans n’importe quelle boîte de nuit. Il y a d’un côté : des filles qui dansent, d’autres qui savent danser mais n’osent pas, et qui attendent l’air renfrogné qu’on les tire de leur ennui, et enfin des non-danseuses qui observent la piste, les yeux écarquillés. D’un autre côté, il y a des non-danseurs qui portent leur verre de vodka glace devant leur poitrine comme un bouclier en se cachant dans un coin, ou des danseurs qui invitent à danser toutes les filles les unes après les autres mais ne savent pas quoi dire pour continuer la conversation à la fin d’une danse. Il y a aussi les petits groupes d’amis qui restent entre eux.

Ce qui est vraiment intéressant dans ces lieux, c’est un tout petit nombre de personnages à part. Les fameux « 20% ». Ceux-là, on ne peut pas les louper. Ce sont eux qui font l’animation de l’endroit. Tous les autres gravitent autour d’eux. Ce sont eux que les filles viennent inviter à danser juste après avoir mis un vent à d’autres danseurs. Ce sont eux qui « décoincent » les danseuses timides qui restaient dans leur coin. Ce sont eux qui font rire les non-danseuses en leur faisant observer à quel point les danseurs se la pètent sur la piste. Ce sont eux qui arrivent à la soirée avec une fille au bras et repartent avec une autre.

Mais ils sont discrets sur leurs conquêtes. Quitter une soirée au bras d’une fille ne veut rien dire. Les garçons-gentils-teneurs-de-compagnie-« je préfère qu’on reste amis » le font aussi. Faire des sous-entendus suivis de gloussements de la part des filles ne veut rien dire non plus. C’est pourquoi ils se permettent de faire tout cela au nez et à la barbe des prétendants – ou des petits amis – de ces demoiselles.

Et pourtant, si vous avez un peu d’intelligence sociale, vous comprenez qu’il y a quelque chose de spécial. Qu’il ne ramène pas la fille jusqu’à chez elle « en tout bien tout honneur ». Que leur petite private joke sur le fait que la fille soit très souple n’a rieeeeeeeeen à voir avec la danse. Que si 80% des filles se comportent avec ce mec comme s’ils avaient couché ensemble, c’est pour une bonne raison…

Que faites-vous pour faire partie de ces 20% ?

J’ai passé des années à essayer de comprendre comment et pourquoi certains hommes ne manquaient jamais de compagnie féminine, alors qu’ils ne semblaient rien faire de si extraordinaire que je puisse comprendre ou copier. Pas de phrase magique, pas de « truc » systématique, rien !

Ce que j’ai fait à l’époque, et la découverte de la communauté de séduction m’a beaucoup aidé, c’est d’essayer de comprendre les croyances des séducteurs que je connaissais. Si la solution n’était pas dans des techniques, ni dans l’argent, la beauté ou les vêtements, alors elle se trouvait forcément dans autre chose.

J’ai commencé à « piger ». Mais il fallait aussi agir. Savoir qu’un séducteur est à l’aise dans son corps est une chose. Arrêter de porter des pantalons trop larges, des chemises trop grandes et de me cacher derrière une moustache, bref renoncer à mon ancien look, était une étape bien différente. Savoir qu’un séducteur considère le monde entier comme sa « zone de confort » est une chose. Sortir davantage, le regard haut, vaincre l’appréhension de saluer des inconnues à longueur de journée, aborder des filles devant leurs parents est une autre paire de manches.

Si tu veux faire partie des 20% LIS CE QUI SUIT

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